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Isabelle P. - 26

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L'imparfait du genre
Avis posté le 2022-10-22
    Un polar attachant
    Deux meurtres perpétrés sur des jeunes hommes dans les rues de Lyon, interpellent le SRPJ pour leur similitude et la commandante Luce Riffard, aidée de son équipe, est chargée de l’enquête qui pourrait mener sur la piste d’un serial killer. Lorsqu’il s’avère que les deux victimes, suivies par la même psychiatre, souffraient de troubles de l’identité sexuelle et envisageaient de changer de sexe, le lien entre elles est clairement établi. Au fil des investigations, on découvre l’ambiance agréable de la ville de Lyon avec ses parcs et ses bars animés et on profite même d’une belle balade dans la campagne environnante jusqu’à la petite ville de Saint Quentin Fallavier. Les six policiers de l’équipe de Luce ont tous des personnalités bien frappées et on s’attache à eux comme à une bande d’amis. Entre elle qui pilote des avions, celui qui joue de la guitare ou le spécialiste des courses de fond, entre autres, ils ont tous un visage humain qui m’a séduite. Le style de ce duo d’auteurs est très agréable à lire et leur humour sous-jacent ainsi que leur langage coloré donnent une touche joyeuse à cette enquête pourtant grave. Pas d’effusion de sang, ni de frissons d’angoisse mais une approche psychologique très intéressante que l’auteur amène progressivement avec des flashbacks et des apartés qui font monter la tension et donnent un rythme soutenu au récit. Un premier polar très réussi, qui je l’espère, sera suivi par d’autres enquêtes de cette sympathique équipe.
    Deux meurtres perpétrés sur des jeunes hommes dans les rues de Lyon, interpellent le SRPJ pour leur similitude et la commandante Luce Riffard, aidée de son équipe, est chargée de l’enquête qui pourrait mener sur la piste d’un serial killer. Lorsqu’il s’avère que les deux victimes, suivies par la même psychiatre, souffraient de troubles de l’identité sexuelle et envisageaient de changer de sexe, le lien entre elles est clairement établi. Au fil des investigations, on découvre l’ambiance agréable de la ville de Lyon avec ses parcs et ses bars animés et on profite même d’une belle balade dans la campagne environnante jusqu’à la petite ville de Saint Quentin Fallavier. Les six policiers de l’équipe de Luce ont tous des personnalités bien frappées et on s’attache à eux comme à une bande d’amis. Entre elle qui pilote des avions, celui qui joue de la guitare ou le spécialiste des courses de fond, entre autres, ils ont tous un visage humain qui m’a séduite. Le style de ce duo d’auteurs est très agréable à lire et leur humour sous-jacent ainsi que leur langage coloré donnent une touche joyeuse à cette enquête pourtant grave. Pas d’effusion de sang, ni de frissons d’angoisse mais une approche psychologique très intéressante que l’auteur amène progressivement avec des flashbacks et des apartés qui font monter la tension et donnent un rythme soutenu au récit. Un premier polar très réussi, qui je l’espère, sera suivi par d’autres enquêtes de cette sympathique équipe.
    Rosine. Une criminelle ordinaire
    Avis posté le 2021-06-30
      Un excellent thriller
      Le 6 juin 2018, Rosine Delsaux, 35 ans, tue ses deux petites filles Chloé 4 ans et Manon 6 ans, en les noyant dans leur bain. Pourtant Rosine avait tout pour faire des envieux, un couple parfait, des fillettes adorables, des parents aimants et un métier d’assistante sociale dans une PMI qui la satisfaisait pleinement. Mais Clélia, l’enquêtrice de personnalité déléguée par le juge d’instruction chargé de l’affaire, est persuadée qu’il y a forcément un événement, dans le passé de cette criminelle, qui a déclenché son passage à l’acte et elle est bien décidé à le mettre au jour. Il faut dire que Clélia a l’habitude de bousculer les préjugés et son mentor et protecteur, Isaac, le juge, dit d’elle qu’elle est « une empêcheuse de penser en rond ». Ses méthodes sont peu banales, elle est impulsive, excessive, elle aime les hommes et la moto et elle est surtout une brillante psychologue. Ce roman retrace, à la manière d’un essai, les manœuvres d’approche psychologique employées par Clélia pour amener les protagonistes de ce drame à se révéler, les uns après les autres. Alors que Rosine est incarcérée en état de prostration, elle enquête au sein de cette famille parfaite jusqu’à pousser chacun dans ses retranchements, se moquant souvent des procédures officielles. Une histoire passionnante tant le sujet est sensible que je l’ai lu d’une traite, en retenant mon souffle, sans pouvoir la lâcher jusqu’au verdict final. Tout est intéressant dans ce roman écrit dans un style percutant et sans concession, depuis la vie débridée de Clélia jusqu’au comportement incompréhensible de cette mère de famille, en passant par le déroulement d’un procès d’assises. Sandrine Cohen signe ici un premier roman de haut vol qui restera, pour moi, un des meilleurs thrillers de l’année.
      Le 6 juin 2018, Rosine Delsaux, 35 ans, tue ses deux petites filles Chloé 4 ans et Manon 6 ans, en les noyant dans leur bain. Pourtant Rosine avait tout pour faire des envieux, un couple parfait, des fillettes adorables, des parents aimants et un métier d’assistante sociale dans une PMI qui la satisfaisait pleinement. Mais Clélia, l’enquêtrice de personnalité déléguée par le juge d’instruction chargé de l’affaire, est persuadée qu’il y a forcément un événement, dans le passé de cette criminelle, qui a déclenché son passage à l’acte et elle est bien décidé à le mettre au jour. Il faut dire que Clélia a l’habitude de bousculer les préjugés et son mentor et protecteur, Isaac, le juge, dit d’elle qu’elle est « une empêcheuse de penser en rond ». Ses méthodes sont peu banales, elle est impulsive, excessive, elle aime les hommes et la moto et elle est surtout une brillante psychologue. Ce roman retrace, à la manière d’un essai, les manœuvres d’approche psychologique employées par Clélia pour amener les protagonistes de ce drame à se révéler, les uns après les autres. Alors que Rosine est incarcérée en état de prostration, elle enquête au sein de cette famille parfaite jusqu’à pousser chacun dans ses retranchements, se moquant souvent des procédures officielles. Une histoire passionnante tant le sujet est sensible que je l’ai lu d’une traite, en retenant mon souffle, sans pouvoir la lâcher jusqu’au verdict final. Tout est intéressant dans ce roman écrit dans un style percutant et sans concession, depuis la vie débridée de Clélia jusqu’au comportement incompréhensible de cette mère de famille, en passant par le déroulement d’un procès d’assises. Sandrine Cohen signe ici un premier roman de haut vol qui restera, pour moi, un des meilleurs thrillers de l’année.
      Rosine. Une criminelle ordinaire
      Avis posté le 2021-06-30
        Un excellent thriller
        Le 6 juin 2018, Rosine Delsaux, 35 ans, tue ses deux petites filles Chloé 4 ans et Manon 6 ans, en les noyant dans leur bain. Pourtant Rosine avait tout pour faire des envieux, un couple parfait, des fillettes adorables, des parents aimants et un métier d’assistante sociale dans une PMI qui la satisfaisait pleinement. Mais Clélia, l’enquêtrice de personnalité déléguée par le juge d’instruction chargé de l’affaire, est persuadée qu’il y a forcément un événement, dans le passé de cette criminelle, qui a déclenché son passage à l’acte et elle est bien décidé à le mettre au jour. Il faut dire que Clélia a l’habitude de bousculer les préjugés et son mentor et protecteur, Isaac, le juge, dit d’elle qu’elle est « une empêcheuse de penser en rond ». Ses méthodes sont peu banales, elle est impulsive, excessive, elle aime les hommes et la moto et elle est surtout une brillante psychologue. Ce roman retrace, à la manière d’un essai, les manœuvres d’approche psychologique employées par Clélia pour amener les protagonistes de ce drame à se révéler, les uns après les autres. Alors que Rosine est incarcérée en état de prostration, elle enquête au sein de cette famille parfaite jusqu’à pousser chacun dans ses retranchements, se moquant souvent des procédures officielles. Une histoire passionnante tant le sujet est sensible que je l’ai lu d’une traite, en retenant mon souffle, sans pouvoir la lâcher jusqu’au verdict final. Tout est intéressant dans ce roman écrit dans un style percutant et sans concession, depuis la vie débridée de Clélia jusqu’au comportement incompréhensible de cette mère de famille, en passant par le déroulement d’un procès d’assises. Sandrine Cohen signe ici un premier roman de haut vol qui restera, pour moi, un des meilleurs thrillers de l’année.
        Le 6 juin 2018, Rosine Delsaux, 35 ans, tue ses deux petites filles Chloé 4 ans et Manon 6 ans, en les noyant dans leur bain. Pourtant Rosine avait tout pour faire des envieux, un couple parfait, des fillettes adorables, des parents aimants et un métier d’assistante sociale dans une PMI qui la satisfaisait pleinement. Mais Clélia, l’enquêtrice de personnalité déléguée par le juge d’instruction chargé de l’affaire, est persuadée qu’il y a forcément un événement, dans le passé de cette criminelle, qui a déclenché son passage à l’acte et elle est bien décidé à le mettre au jour. Il faut dire que Clélia a l’habitude de bousculer les préjugés et son mentor et protecteur, Isaac, le juge, dit d’elle qu’elle est « une empêcheuse de penser en rond ». Ses méthodes sont peu banales, elle est impulsive, excessive, elle aime les hommes et la moto et elle est surtout une brillante psychologue. Ce roman retrace, à la manière d’un essai, les manœuvres d’approche psychologique employées par Clélia pour amener les protagonistes de ce drame à se révéler, les uns après les autres. Alors que Rosine est incarcérée en état de prostration, elle enquête au sein de cette famille parfaite jusqu’à pousser chacun dans ses retranchements, se moquant souvent des procédures officielles. Une histoire passionnante tant le sujet est sensible que je l’ai lu d’une traite, en retenant mon souffle, sans pouvoir la lâcher jusqu’au verdict final. Tout est intéressant dans ce roman écrit dans un style percutant et sans concession, depuis la vie débridée de Clélia jusqu’au comportement incompréhensible de cette mère de famille, en passant par le déroulement d’un procès d’assises. Sandrine Cohen signe ici un premier roman de haut vol qui restera, pour moi, un des meilleurs thrillers de l’année.
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