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Sylvie B. - 34

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Les derniers avis

    Un joli conte !
    Manbat est une petite grenouille qui a tout pour être heureuse : elle est belle, intelligente, vit dans un endroit paradisiaque, entourée d’amis et d’une famille qui l’aiment. Et pourtant ! Elle est triste et elle s’ennuie. Un jour, elle décide de partir à l’aventure… Attirée par la splendeur d’un château elle se retrouve face au danger. Elle saura alors puiser en elle les ressources pour l’affronter. Manbat, aimée et choyée, mais n’a en fait jamais été confrontée à elle-même. Elle se connait mal et ne s’aime pas. Partie en quête d’extraordinaire elle va alors découvrir une belle personne, elle-même. Sous ces allures de conte, ce récit nous rappelle l’importance de se connaitre pour apprendre à reconnaitre et savourer l’essentiel. Conseillé à partir de 7 ans, son message simple et fondamental peut tout à fait concerner toutes les tranches d’âges.
    Manbat est une petite grenouille qui a tout pour être heureuse : elle est belle, intelligente, vit dans un endroit paradisiaque, entourée d’amis et d’une famille qui l’aiment. Et pourtant ! Elle est triste et elle s’ennuie. Un jour, elle décide de partir à l’aventure… Attirée par la splendeur d’un château elle se retrouve face au danger. Elle saura alors puiser en elle les ressources pour l’affronter. Manbat, aimée et choyée, mais n’a en fait jamais été confrontée à elle-même. Elle se connait mal et ne s’aime pas. Partie en quête d’extraordinaire elle va alors découvrir une belle personne, elle-même. Sous ces allures de conte, ce récit nous rappelle l’importance de se connaitre pour apprendre à reconnaitre et savourer l’essentiel. Conseillé à partir de 7 ans, son message simple et fondamental peut tout à fait concerner toutes les tranches d’âges.
    Le puits vers l'infini
    Avis posté le 2020-04-30
      Un roman jeunesse fantastique !
      J’ai tout d’abord été interpelée par le titre du livre jeunesse de Paul Bruard : « Le puits vers l’infini ». C’est presque un oxymore ! Une fois plongée dedans, je l’ai lu d’une traite, prise par un récit d’aventures sans temps mort. J’ai été séduite également par le couple de héros, un frère et une sœur, très attachants. J’ai beaucoup aimé leur voyage dans un univers onirique qui, quelque part m’a fait penser à celui d’Alice aux pays des merveilles ou de Claude Ponti. Ce roman fantastique plein de poésie passionnera sans conteste son lectorat mais intéressera aussi des plus grands !
      J’ai tout d’abord été interpelée par le titre du livre jeunesse de Paul Bruard : « Le puits vers l’infini ». C’est presque un oxymore ! Une fois plongée dedans, je l’ai lu d’une traite, prise par un récit d’aventures sans temps mort. J’ai été séduite également par le couple de héros, un frère et une sœur, très attachants. J’ai beaucoup aimé leur voyage dans un univers onirique qui, quelque part m’a fait penser à celui d’Alice aux pays des merveilles ou de Claude Ponti. Ce roman fantastique plein de poésie passionnera sans conteste son lectorat mais intéressera aussi des plus grands !
      Mut-Muk
      Avis posté le 2020-04-30
      • amitié tolérance différence respect
      Superbe !!!
      Difficile de trouver les mots justes pour rendre honneur à ce livre. J’ai été profondément émue par ce texte, touchée par son univers entre réalité et imaginaire. Je me suis laissée porter par l’histoire. À l’unisson avec la petite narratrice, j’ai apprivoisé, découvert, aimé Mut-Muk, l’enfant étrange et pourtant si vrai. Bien sûr, ils ne sont pas seuls et sont accompagnés de Caroline, la poupée au look BCBG, et Nounours, la vieille peluche d’amour, tout aussi attachants et attendrissants. Partager un moment de vie, de rêve avec eux fut un réel plaisir, un moment magique de lecture. Dans ce texte, Mido nous parle de tolérance, de respect mais aussi, de manière douce, sensible et poétique, de métamorphoses. Chacun, la fillette, la poupée, le nounours et l’enfant au masque blanc évolue et avance sur son propre chemin. L’une va découvrir la bienveillance, l’autre la confiance,… Tous vont s’enrichir au contact les uns des autres, grandir et devenir plus fort. Lorsque j’ai refermé ce livre j’ai vraiment eu le sentiment de quitter des amis. J’ai été partagée entre le bonheur d’avoir fait de si belles rencontres et la tristesse de les voir s’envoler de leurs propres ailes. Cette histoire, si joliment illustrée, m’a accrochée au cœur. Elle m’a marquée et laissera une trace précieuse et délicate dans ma mémoire. Comme David pour Mido. Quelque part, Mut-Muk, m’a fait penser au Petit-Prince. Mido termine d’ailleurs son livre sur une parole d’Antoine Exupéry. Je laisserai, moi, le mot de la fin au Renard : « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux ».
      Difficile de trouver les mots justes pour rendre honneur à ce livre. J’ai été profondément émue par ce texte, touchée par son univers entre réalité et imaginaire. Je me suis laissée porter par l’histoire. À l’unisson avec la petite narratrice, j’ai apprivoisé, découvert, aimé Mut-Muk, l’enfant étrange et pourtant si vrai. Bien sûr, ils ne sont pas seuls et sont accompagnés de Caroline, la poupée au look BCBG, et Nounours, la vieille peluche d’amour, tout aussi attachants et attendrissants. Partager un moment de vie, de rêve avec eux fut un réel plaisir, un moment magique de lecture. Dans ce texte, Mido nous parle de tolérance, de respect mais aussi, de manière douce, sensible et poétique, de métamorphoses. Chacun, la fillette, la poupée, le nounours et l’enfant au masque blanc évolue et avance sur son propre chemin. L’une va découvrir la bienveillance, l’autre la confiance,… Tous vont s’enrichir au contact les uns des autres, grandir et devenir plus fort. Lorsque j’ai refermé ce livre j’ai vraiment eu le sentiment de quitter des amis. J’ai été partagée entre le bonheur d’avoir fait de si belles rencontres et la tristesse de les voir s’envoler de leurs propres ailes. Cette histoire, si joliment illustrée, m’a accrochée au cœur. Elle m’a marquée et laissera une trace précieuse et délicate dans ma mémoire. Comme David pour Mido. Quelque part, Mut-Muk, m’a fait penser au Petit-Prince. Mido termine d’ailleurs son livre sur une parole d’Antoine Exupéry. Je laisserai, moi, le mot de la fin au Renard : « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux ».
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