Zabor est un homme seul. Orphelin de mère, il passe depuis l'enfance sa vie dans les livres, sa vie dans les mots. Il les apprivoise, les dompte : s'en fait un don. Écrivant la vie des gens, la racontant, telle une « Schéhérazade altruiste », il repousse leur mort. Sa réputation l’appellera donc auprès des malades, des mourants : de son vieux père, bientôt.
Oui mais, cet homme qui, il y a longtemps l'a renié, doit-il vraiment être sauvé ?
Après un magistral et inattendu premier roman : Meursault contre-enquête, qui nous offrait, sortie de nulle part, une suite, devenue presqu'incontournable, à L'étranger de Camus, Kamel Daoud creuse une nouvelle fois les frontières et les pouvoirs de la littérature... et c'est magistral !
Zabor est un homme seul. Orphelin de mère, il passe depuis l'enfance sa vie dans les livres, sa vie dans les mots. Il les apprivoise, les dompte : s'en fait un don. Écrivant la vie des gens, la racontant, telle une « Schéhérazade altruiste », il repousse leur mort. Sa réputation l’appellera donc auprès des malades, des mourants : de son vieux père, bientôt.
Oui mais, cet homme qui, il y a longtemps l'a renié, doit-il vraiment être sauvé ?
Après un magistral et inattendu premier roman : Meursault contre-enquête, qui nous offrait, sortie de nulle part, une suite, devenue presqu'incontournable, à L'étranger de Camus, Kamel Daoud creuse une nouvelle fois les frontières et les pouvoirs de la littérature... et c'est magistral !