C'est le troisième et dernier volet de la série Xenogenesis, un récit qui se lit d'une traite, et qui ne peut laisser personne indifférent.
Octavia Butler nous entraîne dans une post-humanité qui n'a rien à voir avec les phantasmes technocentrés des transhumanistes. Au contraire, c'est bien du vivant dont il est question ici, de la frontière, poreuse, entre le semblable et le diffèrent. Ce qui émerge de la rencontre avec les Oankalis oblige les humains à se redéfinir, à réfléchir à ce que veut dire choisir, survivre, changer, évoluer. Les réponses ne sont jamais simplistes.
A chaque fin de tome, les personnages ont continué d'occuper mon esprit longtemps après avoir refermé le livre.
C'est le troisième et dernier volet de la série Xenogenesis, un récit qui se lit d'une traite, et qui ne peut laisser personne indifférent.
Octavia Butler nous entraîne dans une post-humanité qui n'a rien à voir avec les phantasmes technocentrés des transhumanistes. Au contraire, c'est bien du vivant dont il est question ici, de la frontière, poreuse, entre le semblable et le diffèrent. Ce qui émerge de la rencontre avec les Oankalis oblige les humains à se redéfinir, à réfléchir à ce que veut dire choisir, survivre, changer, évoluer. Les réponses ne sont jamais simplistes.
A chaque fin de tome, les personnages ont continué d'occuper mon esprit longtemps après avoir refermé le livre.