X, ou le divin dans la poésie de Victor Hugo à partir de l'exil

Par : Claude Rétat

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  • Nombre de pages222
  • PrésentationBroché
  • Poids0.365 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-271-05706-X
  • EAN9782271057068
  • Date de parution23/09/1999
  • Collectioncnrs litterature
  • ÉditeurCNRS

Résumé

Ce livre n'est pas une étude de la religion de Victor Hugo, ni un " Victor Hugo devant Dieu ". Il n'a pas pour objet d'utiliser la poésie pour en tirer des renseignements sur la religion, la foi, le Dieu de l'auteur. Il part de la poésie pour arriver à la poésie. Il montre comment le divin, perçu et exprimé comme un mouvement d'énergie expansive, est exercé, accompli en poésie par le poète. Hugo nomme X l'Inconnu du problème du monde. Inconnu inconnaissable : " X reste X ". Pas de nom, pas de forme. Mais une force diffusive, dont le signe même de l'inconnu trace et fait voir le schéma : un rayonnement, qui est celui de Dieu et celui du poète. Cette poésie a un lieu : l'exil lui ouvre un " fond des choses ", où s'originent la nature et le droit, lieu quelconque et divin à force d'être au fond. Et c'est une action. Résistante au tyran, elle vit les délais du divin. Résistante à la " pression " de Tout, qui est Trop, elle tient dans et contre le divin, invente la prise de force. Et c'est un triomphe ! Elle ne trouve pas un objet, un dieu, mais une réversibilité du divin. Elle imite son effusion, prend forme sur X, quadruple lancer de bras ou de rayons : elle renvoie le divin au divin.
Ce livre n'est pas une étude de la religion de Victor Hugo, ni un " Victor Hugo devant Dieu ". Il n'a pas pour objet d'utiliser la poésie pour en tirer des renseignements sur la religion, la foi, le Dieu de l'auteur. Il part de la poésie pour arriver à la poésie. Il montre comment le divin, perçu et exprimé comme un mouvement d'énergie expansive, est exercé, accompli en poésie par le poète. Hugo nomme X l'Inconnu du problème du monde. Inconnu inconnaissable : " X reste X ". Pas de nom, pas de forme. Mais une force diffusive, dont le signe même de l'inconnu trace et fait voir le schéma : un rayonnement, qui est celui de Dieu et celui du poète. Cette poésie a un lieu : l'exil lui ouvre un " fond des choses ", où s'originent la nature et le droit, lieu quelconque et divin à force d'être au fond. Et c'est une action. Résistante au tyran, elle vit les délais du divin. Résistante à la " pression " de Tout, qui est Trop, elle tient dans et contre le divin, invente la prise de force. Et c'est un triomphe ! Elle ne trouve pas un objet, un dieu, mais une réversibilité du divin. Elle imite son effusion, prend forme sur X, quadruple lancer de bras ou de rayons : elle renvoie le divin au divin.
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