Waterloo. Les reliques
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- Nombre de pages128
- PrésentationBroché
- Poids1.2 kg
- Dimensions23,0 cm × 32,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-35250-435-1
- EAN9782352504351
- Date de parution23/05/2015
- Collection1er Empire
- ÉditeurHistoire et Collections
Résumé
" Waterloo, morne plaine ... " Ces trois mots résonnent encore à la mémoire des Français. Par-delà les écrits de Victor Hugo, c'est pour eux le souvenir précis d'une défaite plutôt que celui d'une bataille et, selon les opinions, le point final d'une fantastique épopée ou d'un terrible despotisme. Dix-huit juin 1815, jour funeste pour les armes françaises qui a vu la chute finale de Napoléon et a scellé le sort de l'Europe pour les décennies.
Les preuves authentiques de la bataille, il fallait les chercher aux sources. A deux siècles d'intervalle, les seuls indices concrets, à nos yeux, étaient les objets qui avaient réellement " fait" Waterloo. Curieusement, après tant de publications sur le sujet, personne ne semblait s'y être vraiment intéressé. Pourtant, leur capital émotionnel demeure toujours intact, du célébrissime chapeau de Napoléon au bouton d'uniforme du plus obscur des fusiliers d'infanterie.
Les preuves authentiques de la bataille, il fallait les chercher aux sources. A deux siècles d'intervalle, les seuls indices concrets, à nos yeux, étaient les objets qui avaient réellement " fait" Waterloo. Curieusement, après tant de publications sur le sujet, personne ne semblait s'y être vraiment intéressé. Pourtant, leur capital émotionnel demeure toujours intact, du célébrissime chapeau de Napoléon au bouton d'uniforme du plus obscur des fusiliers d'infanterie.
" Waterloo, morne plaine ... " Ces trois mots résonnent encore à la mémoire des Français. Par-delà les écrits de Victor Hugo, c'est pour eux le souvenir précis d'une défaite plutôt que celui d'une bataille et, selon les opinions, le point final d'une fantastique épopée ou d'un terrible despotisme. Dix-huit juin 1815, jour funeste pour les armes françaises qui a vu la chute finale de Napoléon et a scellé le sort de l'Europe pour les décennies.
Les preuves authentiques de la bataille, il fallait les chercher aux sources. A deux siècles d'intervalle, les seuls indices concrets, à nos yeux, étaient les objets qui avaient réellement " fait" Waterloo. Curieusement, après tant de publications sur le sujet, personne ne semblait s'y être vraiment intéressé. Pourtant, leur capital émotionnel demeure toujours intact, du célébrissime chapeau de Napoléon au bouton d'uniforme du plus obscur des fusiliers d'infanterie.
Les preuves authentiques de la bataille, il fallait les chercher aux sources. A deux siècles d'intervalle, les seuls indices concrets, à nos yeux, étaient les objets qui avaient réellement " fait" Waterloo. Curieusement, après tant de publications sur le sujet, personne ne semblait s'y être vraiment intéressé. Pourtant, leur capital émotionnel demeure toujours intact, du célébrissime chapeau de Napoléon au bouton d'uniforme du plus obscur des fusiliers d'infanterie.