Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cet ouvrage analyse les questions d'hétéronomie et d'autonomie musicales discutées en France à partir des œuvres de Wagner entre 1883 et 1889. Les...
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Résumé
Cet ouvrage analyse les questions d'hétéronomie et d'autonomie musicales discutées en France à partir des œuvres de Wagner entre 1883 et 1889. Les travaux parus dans la Revue Wagnérienne font de des années un véritable laboratoire de la création au sens baudelairien, c'est-à-dire une critique et une
poétique qui permettent de passer d'une rêverie sur le nom de Wagner à une théorisation constitutive de l'art moderne. Une identité wagnériste s'esquisse alors dans la volonté affichée de créer à partir des options fondamentales de l'œuvre théorique et
dramatique de Richard Wagner et se forge dans cette problématique : écriture de la musique ou musique de l'écriture ? La poésie, proto-musique par excellence, ne peut mener à bien son ambition ultime, l'expression du sentiment, parce qu'elle est
bridée par son instrument, la langue ; seule la musique possède ce pouvoir d'expression au-delà des mots qui accomplit le subjectif et donc l'universel. C'est ce défi lancé par Wagner que des écrivains comme Stéphane Mallarmé, René Ghil, Edouard Dujardin ou Elémir Bourges entendent relever, tandis que les musiciens français cherchent à imposer le drame musical sur les scènes françaises. On découvre ainsi la profonde originalité du
wagnérisme français, qui part de la représentation wagnérienne du purement humain pour exposer, à travers quelques figures emblématiques comme Daniel Prince, le roi Arthus ou la Damoiselle élue, le caractère fluent de l'être aux prises avec le monde.
Cécile Leblanc, agrégée, de Lettres Classiques et docteur en littérature et civilisation françaises, enseigne à l'Université de Paris III/Sorbonne Nouvelle depuis 1996.