Voyage en Provence

Par : Alexandre Hurel
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  • Nombre de pages272
  • PrésentationBroché
  • Poids0.56 kg
  • Dimensions1,5 cm × 2,2 cm × 0,0 cm
  • ISBN2-912789-37-0
  • EAN9782912789372
  • Date de parution01/05/2004
  • ÉditeurPimientos

Résumé

Dès 1830, la mode est au voyage. Et, au fil du siècle, la Provence va devenir une destination privilégiée. Le succès ne s'est toujours pas démenti. Les écrivains majeurs de notre panthéon littéraire découvrent ce territoire, et l'admirent. Ils admirent Marseille, Marseille "la grande" , Marseille au sein de laquelle vivent toutes les langues, où accostent tous les navires. Tel plonge dans les délices de la Méditerranée, tel autre vers Arles, Avignon ou Aix et s'enivre de ces rues au parfum d'Italie, s'extasie devant ces ruines où l'on flirte avec l'Antiquité.
La volupté n'est pas bien loin, et le bonheur non plus : "la peau se dilate et hume le soleil comme un grand bain de lumière" (Flaubert). La nature règne alors en maîtresse incontestée : ce ne sont que "verdure dorée, eau splendide, maisons, jardins, voiles gonflées, chant, murmure, vie et joie" (Hugo) ; ce ne sont qu'orangers, oliviers, jujubiers, grenades mûres, lilas fleuris, citronniers, vignes, câpriers...
Un pâtre passe devant un mas, la langue provençale ricoche contre les barres de l'Esterel, le soleil ruisselle. Passe une Arlésienne au profil grec. La littérature est éternelle.
Dès 1830, la mode est au voyage. Et, au fil du siècle, la Provence va devenir une destination privilégiée. Le succès ne s'est toujours pas démenti. Les écrivains majeurs de notre panthéon littéraire découvrent ce territoire, et l'admirent. Ils admirent Marseille, Marseille "la grande" , Marseille au sein de laquelle vivent toutes les langues, où accostent tous les navires. Tel plonge dans les délices de la Méditerranée, tel autre vers Arles, Avignon ou Aix et s'enivre de ces rues au parfum d'Italie, s'extasie devant ces ruines où l'on flirte avec l'Antiquité.
La volupté n'est pas bien loin, et le bonheur non plus : "la peau se dilate et hume le soleil comme un grand bain de lumière" (Flaubert). La nature règne alors en maîtresse incontestée : ce ne sont que "verdure dorée, eau splendide, maisons, jardins, voiles gonflées, chant, murmure, vie et joie" (Hugo) ; ce ne sont qu'orangers, oliviers, jujubiers, grenades mûres, lilas fleuris, citronniers, vignes, câpriers...
Un pâtre passe devant un mas, la langue provençale ricoche contre les barres de l'Esterel, le soleil ruisselle. Passe une Arlésienne au profil grec. La littérature est éternelle.