Voyage de Paris en Constantinople

Par : Jean Chesneau
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  • Nombre de pages126
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.246 kg
  • Dimensions15,2 cm × 22,2 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-600-05984-8
  • EAN9782600059848
  • Date de parution04/10/2019
  • CollectionCahiers d'Humanisme et Renais
  • ÉditeurDroz
  • AnnotateurLisa Pochmalicki

Résumé

Le Voyage de Paris en Constantinople fait revivre le monde diplomatique français dans l’Empire ottoman au milieu du XVIe siècle. Lorsque Gabriel d’Aramon est nommé ambassadeur à Constantinople en 1546, il obtient la faveur du sultan Soliman et l’accompagne dans différentes campagnes militaires, comme celle de Perse en 1548 dont ce récit offre un témoignage unique. Grâce à sa place privilégiée en tant que secrétaire d’Aramon, Jean Chesneau retrace la chronologie et les déplacements de l’ambassade, révélant ainsi les relations diplomatiques entre la France et l’Empire ottoman.
C’est aussi la variété du Levant que ce texte tente de saisir. Funambules turcs à Venise, palais et sérails de Constantinople, lieux saints à Jérusalem ou animaux et obélisques du Caire : Chesneau offre une vision bigarrée de l’Orient. Souvent nourri par les discours de ses contemporains, ce récit de voyage laisse malgré tout entrevoir une expérience singulière du lointain.
Le Voyage de Paris en Constantinople fait revivre le monde diplomatique français dans l’Empire ottoman au milieu du XVIe siècle. Lorsque Gabriel d’Aramon est nommé ambassadeur à Constantinople en 1546, il obtient la faveur du sultan Soliman et l’accompagne dans différentes campagnes militaires, comme celle de Perse en 1548 dont ce récit offre un témoignage unique. Grâce à sa place privilégiée en tant que secrétaire d’Aramon, Jean Chesneau retrace la chronologie et les déplacements de l’ambassade, révélant ainsi les relations diplomatiques entre la France et l’Empire ottoman.
C’est aussi la variété du Levant que ce texte tente de saisir. Funambules turcs à Venise, palais et sérails de Constantinople, lieux saints à Jérusalem ou animaux et obélisques du Caire : Chesneau offre une vision bigarrée de l’Orient. Souvent nourri par les discours de ses contemporains, ce récit de voyage laisse malgré tout entrevoir une expérience singulière du lointain.