Voyage au bout de la fin du capital. Thèses sur la crise terminale achevée de la valeur d'échange et la dialectique de surgissement d'un monde sans argent ni état...

Par : Francis Cousin
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages304
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.38 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-491861-38-4
  • EAN9782491861384
  • Date de parution15/02/2023
  • ÉditeurCulture & racines

Résumé

Il faut distinguer deux formes, successives et complémentaires, dans l’irrémédiable crise terminale du spectacle de la marchandise mondiale?; l’inférieure et la supérieure. La première a débuté en 2018 lorsque les taux d’intérêt négatifs sont venus dire officiellement que le crédit chimérique intensif du cycle fantastique - ayant démarré en 1968 - avait cessé de pouvoir reproduire sa reproduction et que les prodromes de 2008 avaient pleinement abouti à développer la crise?historique?du taux de profit dans l’inarrêtable saturation du marché mondial et la désintégration financière et monétaire généralisée.
La seconde a commencé à déjà travailler souterrainement en rendant inévitable la mise en friche de l’économie planétaire?déguisée?par le mensonge étatique mondial du Covid et les mystifications climatiques du GIEC qui sont censées justifier l’ouverture du grand marché électrico-écologique obligatoire qui pourtant ne règlera rien à l’impossible valorisation?irrémédiable. Chaos terroriste gouvernementaliste, immigrationnisme illimité et LGBTisme forcené ont inauguré ce vaste temps?nouveau?où la schizophrénie mégapolitaine du capitalisme terminal annonce sa fatale disparition.
Alors?au bout, lorsque plus aucune monnaie ne permettra à l'argent en tant qu’équivalent général abstrait de toute la marchandisation du monde d’assumer la répétition de sa répétition, surgira le prolétariat universel générant la?Commune?des besoins et des désirs humains, laquelle n'est rien d'autre que le mode générique d'existence de?l’être de l’homme, c’est-à-dire l’abolition de toutes les classes, la destruction de l’argent, du salariat et de l’État.
Il faut distinguer deux formes, successives et complémentaires, dans l’irrémédiable crise terminale du spectacle de la marchandise mondiale?; l’inférieure et la supérieure. La première a débuté en 2018 lorsque les taux d’intérêt négatifs sont venus dire officiellement que le crédit chimérique intensif du cycle fantastique - ayant démarré en 1968 - avait cessé de pouvoir reproduire sa reproduction et que les prodromes de 2008 avaient pleinement abouti à développer la crise?historique?du taux de profit dans l’inarrêtable saturation du marché mondial et la désintégration financière et monétaire généralisée.
La seconde a commencé à déjà travailler souterrainement en rendant inévitable la mise en friche de l’économie planétaire?déguisée?par le mensonge étatique mondial du Covid et les mystifications climatiques du GIEC qui sont censées justifier l’ouverture du grand marché électrico-écologique obligatoire qui pourtant ne règlera rien à l’impossible valorisation?irrémédiable. Chaos terroriste gouvernementaliste, immigrationnisme illimité et LGBTisme forcené ont inauguré ce vaste temps?nouveau?où la schizophrénie mégapolitaine du capitalisme terminal annonce sa fatale disparition.
Alors?au bout, lorsque plus aucune monnaie ne permettra à l'argent en tant qu’équivalent général abstrait de toute la marchandisation du monde d’assumer la répétition de sa répétition, surgira le prolétariat universel générant la?Commune?des besoins et des désirs humains, laquelle n'est rien d'autre que le mode générique d'existence de?l’être de l’homme, c’est-à-dire l’abolition de toutes les classes, la destruction de l’argent, du salariat et de l’État.