Voyage A Constantinople. 1860
Par : , ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages174
- PrésentationBroché
- Poids1.065 kg
- Dimensions24,0 cm × 28,8 cm × 1,4 cm
- ISBN2-87027-699-0
- EAN9782870276990
- Date de parution01/10/1998
- ÉditeurComplexe (editions)
Résumé
"Le Sultan ne pouvait qu'une chose pour moi, et cette chose, il l'a faite. Il me
présente lui-même à tout l'orient comme un grand personnage. [ ... ] Mes traits sont aujourd'hui connus depuis Alexandrie jusqu'au-delà de la cataracte du Nil, depuis Suez, Jérusalem et Damas jusqu'à Smyrne, Mytilène, Rhodes, Candie, Chypre, Samos, Syra, Athènes, Constantinople, Siliotrie, Belgrade et Bucarest.
Au printemps 1860, âgé de 25 ans, le duc de Brabant, prince héritier du trône de Belgique, séjourne près d'un mois à Constantinople. L'Empire Ottoman est en voie de désintégration et le futur colonisateur du Congo belge rêve d'obtenir pour son pays la concession de terrains à Chypre et à Candie. Dans son journal, qui est en fait une longue lettre à son père, le roi Léopold Ier, le duc décrit son quotidien à la cour du Sultan Ahdul-Médjid avec une franchise et une liberté de plume souvent déconcertantes. Les acteurs du fabuleux décor décrit par Lamartine, Nerval et Gautier trouvent ici un peintre aussi inattendu qu'exceptionnel.
L'édition de ce manuscrit récemment retrouvé parmi les Archives Goffinet est illustrée par les vues du photographe français Claude-Marie Ferrier, commandées par le duc de Brabant à son retour de Constantinople. Il s'agit de la première impression sur papier de ces admirables plaques de verre réalisées en 1857. On y a joint de nombreux portraits tirés des albums personnels du roi.
"Le Sultan ne pouvait qu'une chose pour moi, et cette chose, il l'a faite. Il me
présente lui-même à tout l'orient comme un grand personnage. [ ... ] Mes traits sont aujourd'hui connus depuis Alexandrie jusqu'au-delà de la cataracte du Nil, depuis Suez, Jérusalem et Damas jusqu'à Smyrne, Mytilène, Rhodes, Candie, Chypre, Samos, Syra, Athènes, Constantinople, Siliotrie, Belgrade et Bucarest.
Au printemps 1860, âgé de 25 ans, le duc de Brabant, prince héritier du trône de Belgique, séjourne près d'un mois à Constantinople. L'Empire Ottoman est en voie de désintégration et le futur colonisateur du Congo belge rêve d'obtenir pour son pays la concession de terrains à Chypre et à Candie. Dans son journal, qui est en fait une longue lettre à son père, le roi Léopold Ier, le duc décrit son quotidien à la cour du Sultan Ahdul-Médjid avec une franchise et une liberté de plume souvent déconcertantes. Les acteurs du fabuleux décor décrit par Lamartine, Nerval et Gautier trouvent ici un peintre aussi inattendu qu'exceptionnel.
L'édition de ce manuscrit récemment retrouvé parmi les Archives Goffinet est illustrée par les vues du photographe français Claude-Marie Ferrier, commandées par le duc de Brabant à son retour de Constantinople. Il s'agit de la première impression sur papier de ces admirables plaques de verre réalisées en 1857. On y a joint de nombreux portraits tirés des albums personnels du roi.