Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Quantité de légendes courent sur la presse " people " : paparazzi milliardaires, méthodes inavouables, bidonnages répétés, collusions entre artistes...
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Résumé
Quantité de légendes courent sur la presse " people " : paparazzi milliardaires, méthodes inavouables, bidonnages répétés, collusions entre artistes et photographes, officines de renseignements au service du Grand Complot... Et si un magazine people, c'était un magazine comme les autres ? Dont les méthodes d'investigation ne sont pas si éloignées de certains news respectables ? En septembre 1997, désigné à l'unanimité comme le responsable de la mort de Diana, la " princesse du peuple ", Voici est devenu le journal à abattre. Les avocats s'y employèrent avec soin, confortant par la même occasion leurs honoraires à coup de procès hebdomadaires. Certaines stars y arrondirent sérieusement leurs fins de mois. Oubliant délibérément le " peoplement correct " de la presse à sensation française, Voici avait, depuis le début des années 1990, multiplié enquêtes et coups, mettant à mal la communication trop bien huilée des célébrités. Ses ventes étaient montées jusqu'au million d'exemplaires. On ne prête qu'aux riches. Voici fut vite accusé d'être au centre d'un vaste complot hostile aux têtes couronnées et aux artistes. Son ex-rédacteur en chef, Jacques Colin, en raconte la vie au quotidien, ses rapports avec Isabelle Adjani, Johnny Depp, Ophélie Winter, la première chambre civile du tribunal de Nanterre, grande pourvoyeuse d'argent de poche pour les célébrités. Où l'on découvre que la législation française sur la protection de la vie privée s'inspire plus de la loterie nationale que du droit. Où l'on voit Axel Ganz, dit Le Kaiser, tout-puissant patron du groupe Prisma, effaré par les mœurs en cours dans les rédactions françaises. Un témoignage autorisé - intelligent et édifiant -, sur une forme de journalisme qui revendique une déontologie et pratique l'investigation aussi bien que les autres.