À paraître
Vocalités d’oc (théâtre, chanson, poésie)
1e édition
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- Poids0.525 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-8107-1350-9
- EAN9782810713509
- Date de parution14/11/2025
- CollectionLittératures classiques
- ÉditeurPU MIDI
- CompilateurJean-François Courouau
Résumé
Au XVIIe siècle, la création en langue occitane, au théâtre, dans la poésie, dans la chanson, joue avec les formes culturelles héritées et une importance centrale est accordée à la mise en voix, à l'oralité, à la vocalité. Le résultat est original et surprenant. On l'ignore souvent mais le XVIIe siècle est un grand siècle de création artistique dans la langue d'oc, alors couramment employée par l'ensemble de la population dans le sud du royaume.
Ces oeuvres, pour beaucoup oubliées de nos jours, témoignent d'un dynamisme paradoxal - alors que triomphe la littérature de langue française - et d'une étonnante originalité. Une des caractéristiques les plus frappantes réside dans l'usage qui est fait, quel que soit le genre pratiqué, de la vocalité. Les paroles, les voix plurielles de tout un monde se font entendre et, tout en connaissant et en respectant les conventions tacites qui régissent la vie artistique de leur temps, les créateurs de langue occitane jouent sur le décalage, le contrepoint, voire l'opposition plus ou moins directe.
Le théâtre, joué dans la rue, comme à Béziers, ou en Provence en temps de carnaval, est le lieu d'élection de ces discordances mais on perçoit également ce primat accordé à la vocalité aussi bien dans la poésie que dans la chanson, religieuse ou profane. Une présence de la voix occitane qui se fait entendre jusque dans le Nouveau Monde.
Ces oeuvres, pour beaucoup oubliées de nos jours, témoignent d'un dynamisme paradoxal - alors que triomphe la littérature de langue française - et d'une étonnante originalité. Une des caractéristiques les plus frappantes réside dans l'usage qui est fait, quel que soit le genre pratiqué, de la vocalité. Les paroles, les voix plurielles de tout un monde se font entendre et, tout en connaissant et en respectant les conventions tacites qui régissent la vie artistique de leur temps, les créateurs de langue occitane jouent sur le décalage, le contrepoint, voire l'opposition plus ou moins directe.
Le théâtre, joué dans la rue, comme à Béziers, ou en Provence en temps de carnaval, est le lieu d'élection de ces discordances mais on perçoit également ce primat accordé à la vocalité aussi bien dans la poésie que dans la chanson, religieuse ou profane. Une présence de la voix occitane qui se fait entendre jusque dans le Nouveau Monde.
Au XVIIe siècle, la création en langue occitane, au théâtre, dans la poésie, dans la chanson, joue avec les formes culturelles héritées et une importance centrale est accordée à la mise en voix, à l'oralité, à la vocalité. Le résultat est original et surprenant. On l'ignore souvent mais le XVIIe siècle est un grand siècle de création artistique dans la langue d'oc, alors couramment employée par l'ensemble de la population dans le sud du royaume.
Ces oeuvres, pour beaucoup oubliées de nos jours, témoignent d'un dynamisme paradoxal - alors que triomphe la littérature de langue française - et d'une étonnante originalité. Une des caractéristiques les plus frappantes réside dans l'usage qui est fait, quel que soit le genre pratiqué, de la vocalité. Les paroles, les voix plurielles de tout un monde se font entendre et, tout en connaissant et en respectant les conventions tacites qui régissent la vie artistique de leur temps, les créateurs de langue occitane jouent sur le décalage, le contrepoint, voire l'opposition plus ou moins directe.
Le théâtre, joué dans la rue, comme à Béziers, ou en Provence en temps de carnaval, est le lieu d'élection de ces discordances mais on perçoit également ce primat accordé à la vocalité aussi bien dans la poésie que dans la chanson, religieuse ou profane. Une présence de la voix occitane qui se fait entendre jusque dans le Nouveau Monde.
Ces oeuvres, pour beaucoup oubliées de nos jours, témoignent d'un dynamisme paradoxal - alors que triomphe la littérature de langue française - et d'une étonnante originalité. Une des caractéristiques les plus frappantes réside dans l'usage qui est fait, quel que soit le genre pratiqué, de la vocalité. Les paroles, les voix plurielles de tout un monde se font entendre et, tout en connaissant et en respectant les conventions tacites qui régissent la vie artistique de leur temps, les créateurs de langue occitane jouent sur le décalage, le contrepoint, voire l'opposition plus ou moins directe.
Le théâtre, joué dans la rue, comme à Béziers, ou en Provence en temps de carnaval, est le lieu d'élection de ces discordances mais on perçoit également ce primat accordé à la vocalité aussi bien dans la poésie que dans la chanson, religieuse ou profane. Une présence de la voix occitane qui se fait entendre jusque dans le Nouveau Monde.