Vivre en ville : Bruxelles et Montréal au XIXe et XXe siècles
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- Nombre de pages375
- PrésentationBroché
- Poids1.1 kg
- Dimensions22,0 cm × 15,0 cm × 0,0 cm
- ISBN90-5201-334-9
- EAN9789052013343
- Date de parution01/01/2006
- ÉditeurPIE
Résumé
Ce livre est né d'une série de rencontres entre deux équipes d'historiens travaillant l'une sur Bruxelles, l'autre sur Montréal et qui souhaitaient enrichir leur réflexion dans le cadre d'une démarche comparative. Les textes réunis dans ce volume, fruits de ces échanges transatlantiques, jettent un éclairage nouveau et signifiant sur des aspects peu connus de l'histoire des deux cités. Bruxelles et Montréal sont en effet deux exemples du phénomène d'urbanisation qui prend une nouvelle ampleur au XIXe siècle.
Parmi les nombreuses localités qui participent à ce processus, certaines atteignent une taille telle qu'elles deviennent de véritables métropoles étendant leur emprise sur un vaste hinterland. Bruxelles et Montréal appartiennent à cette catégorie. Il était donc tentant d'examiner les conséquences de cette croissance urbaine en privilégiant l'étude de quelques-unes des facettes des nouveaux "usages" de la ville aux XIXe et XXe siècles.
Que signifie concrètement "vivre en ville" pour les femmes ou pour les citadins qui fréquentent les lieux publics comme les parcs et les magasins ? Comment perçoivent-ils la ville ? De quelle ville rêvent-ils ? Comment construisent-ils leur identité d'urbains ? Ce sont là quelques-unes des questions auxquelles cet ouvrage tente de répondre.
Parmi les nombreuses localités qui participent à ce processus, certaines atteignent une taille telle qu'elles deviennent de véritables métropoles étendant leur emprise sur un vaste hinterland. Bruxelles et Montréal appartiennent à cette catégorie. Il était donc tentant d'examiner les conséquences de cette croissance urbaine en privilégiant l'étude de quelques-unes des facettes des nouveaux "usages" de la ville aux XIXe et XXe siècles.
Que signifie concrètement "vivre en ville" pour les femmes ou pour les citadins qui fréquentent les lieux publics comme les parcs et les magasins ? Comment perçoivent-ils la ville ? De quelle ville rêvent-ils ? Comment construisent-ils leur identité d'urbains ? Ce sont là quelques-unes des questions auxquelles cet ouvrage tente de répondre.
Ce livre est né d'une série de rencontres entre deux équipes d'historiens travaillant l'une sur Bruxelles, l'autre sur Montréal et qui souhaitaient enrichir leur réflexion dans le cadre d'une démarche comparative. Les textes réunis dans ce volume, fruits de ces échanges transatlantiques, jettent un éclairage nouveau et signifiant sur des aspects peu connus de l'histoire des deux cités. Bruxelles et Montréal sont en effet deux exemples du phénomène d'urbanisation qui prend une nouvelle ampleur au XIXe siècle.
Parmi les nombreuses localités qui participent à ce processus, certaines atteignent une taille telle qu'elles deviennent de véritables métropoles étendant leur emprise sur un vaste hinterland. Bruxelles et Montréal appartiennent à cette catégorie. Il était donc tentant d'examiner les conséquences de cette croissance urbaine en privilégiant l'étude de quelques-unes des facettes des nouveaux "usages" de la ville aux XIXe et XXe siècles.
Que signifie concrètement "vivre en ville" pour les femmes ou pour les citadins qui fréquentent les lieux publics comme les parcs et les magasins ? Comment perçoivent-ils la ville ? De quelle ville rêvent-ils ? Comment construisent-ils leur identité d'urbains ? Ce sont là quelques-unes des questions auxquelles cet ouvrage tente de répondre.
Parmi les nombreuses localités qui participent à ce processus, certaines atteignent une taille telle qu'elles deviennent de véritables métropoles étendant leur emprise sur un vaste hinterland. Bruxelles et Montréal appartiennent à cette catégorie. Il était donc tentant d'examiner les conséquences de cette croissance urbaine en privilégiant l'étude de quelques-unes des facettes des nouveaux "usages" de la ville aux XIXe et XXe siècles.
Que signifie concrètement "vivre en ville" pour les femmes ou pour les citadins qui fréquentent les lieux publics comme les parcs et les magasins ? Comment perçoivent-ils la ville ? De quelle ville rêvent-ils ? Comment construisent-ils leur identité d'urbains ? Ce sont là quelques-unes des questions auxquelles cet ouvrage tente de répondre.