Visages de la crise. Nous gens du Sud, pauvres et fainéants

Par : Marie-Line Darcy, mathilde Auvillain, Angélique Kourounis, Gaëlle Lucas

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  • Nombre de pages135
  • PrésentationBroché
  • Poids0.18 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-283-02847-6
  • EAN9782283028476
  • Date de parution01/10/2015
  • ÉditeurBuchet-Chastel

Résumé

A partir de 2008, touchés par la crise des subprimes, le Portugal, l'Espagne, l'Italie et la Grèce s'enfoncent dans la dette et les déficits. Les plans d'austérité se multiplient, les agences de notation, à la fois juge et partie, accablent les pays du Sud, décidément mauvais élèves du néolibéralisme, jusqu'à l'arrivée de la «troïka», ces experts nommés par la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international, qui muselle les élus et met les Etats sous tutelle.
Or, ce remède de cheval contre la dette n'est pas infligé aux vrais malades ¿ banques, financiers, investisseurs inconséquents, appareil d'Etat, mais aux simples citoyens. Elles s'appellent Céu, Mónica ou Irini ; ils se nomment José Salsa, José Roldán, Salvatore, Stefano ou Toly. Ils ont en commun, eux que l'on croyait passifs, plus tentés par la siesta, la dolce vita et le farniente, de réagir avec une surprenante vigueur aux plans d'austérité dont on les accable.
Les huit portraits-témoignages réunis dans cet ouvrage sont significatifs et symboliques de la crise, complexe et dramatique, que traversent les pays du sud de l'Europe. Ces gens ordinaires donnent de la situation actuelle une lecture charnelle, émouvante, mais aussi pleine de la force de la révolte.
A partir de 2008, touchés par la crise des subprimes, le Portugal, l'Espagne, l'Italie et la Grèce s'enfoncent dans la dette et les déficits. Les plans d'austérité se multiplient, les agences de notation, à la fois juge et partie, accablent les pays du Sud, décidément mauvais élèves du néolibéralisme, jusqu'à l'arrivée de la «troïka», ces experts nommés par la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international, qui muselle les élus et met les Etats sous tutelle.
Or, ce remède de cheval contre la dette n'est pas infligé aux vrais malades ¿ banques, financiers, investisseurs inconséquents, appareil d'Etat, mais aux simples citoyens. Elles s'appellent Céu, Mónica ou Irini ; ils se nomment José Salsa, José Roldán, Salvatore, Stefano ou Toly. Ils ont en commun, eux que l'on croyait passifs, plus tentés par la siesta, la dolce vita et le farniente, de réagir avec une surprenante vigueur aux plans d'austérité dont on les accable.
Les huit portraits-témoignages réunis dans cet ouvrage sont significatifs et symboliques de la crise, complexe et dramatique, que traversent les pays du sud de l'Europe. Ces gens ordinaires donnent de la situation actuelle une lecture charnelle, émouvante, mais aussi pleine de la force de la révolte.