Visages de l'émigration portugaise

Par : Joaquim Tenreira Martins

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  • Nombre de pages173
  • PrésentationBroché
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-343-08913-3
  • EAN9782343089133
  • Date de parution01/03/2016
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierMaria Manuela Aguiar

Résumé

L'écoute, le regard, la tendresse, la poignée de main affectueuse, la parole partagée, l'émotion ressentie, les vies en ton mineur... A travers une diversité de textes inspirés par son expérience dans le domaine social, Joaquim Tenreira Martins a écrit sur lui-même et sur le travail qu'il a réalisé à l'Ambassade du Portugal à Bruxelles. "Mes visiteurs me racontent presque toujours des histoires tristes.
Je ne peux nier que leurs récits m'affectent. Face à cela, l'écriture m'est d'un grand secours. Je me les approprie et je les termine à mon goût. Je me considère comme un sculpteur de visages que je remodèle pour leur donner une autre image, une autre vie. J'ai aussi la tentation d'être un démiurge qui a le pouvoir d'organiser la vie des gens pour que la caisse de résonance d'où émanent leurs lamentations, puisse nous transmettre une autre mélodie, peut-être moins triste, peut-être plus douce que celle que j'entends chaque jour."
L'écoute, le regard, la tendresse, la poignée de main affectueuse, la parole partagée, l'émotion ressentie, les vies en ton mineur... A travers une diversité de textes inspirés par son expérience dans le domaine social, Joaquim Tenreira Martins a écrit sur lui-même et sur le travail qu'il a réalisé à l'Ambassade du Portugal à Bruxelles. "Mes visiteurs me racontent presque toujours des histoires tristes.
Je ne peux nier que leurs récits m'affectent. Face à cela, l'écriture m'est d'un grand secours. Je me les approprie et je les termine à mon goût. Je me considère comme un sculpteur de visages que je remodèle pour leur donner une autre image, une autre vie. J'ai aussi la tentation d'être un démiurge qui a le pouvoir d'organiser la vie des gens pour que la caisse de résonance d'où émanent leurs lamentations, puisse nous transmettre une autre mélodie, peut-être moins triste, peut-être plus douce que celle que j'entends chaque jour."