Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Si le Dieu de la Bible ne peut être défini au moyen de prédications et d'attributions logiques, le discours philosophique peut-il supporter le nom...
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Résumé
Si le Dieu de la Bible ne peut être défini au moyen de prédications et d'attributions logiques, le discours philosophique peut-il supporter le nom de Dieu ? Si le premier mot du sensé est biblique, faut-il dire que le dernier mot est grec? Comment comprendre alors que le premier mot fasse retour à l'époque de la "fin de la philosophie" ? Au coeur de cette interrogation : l'entente de la Parole de Dieu dans le Visage, selon Emmanuel Lévinas. Si le Visage d'autrui se donne à l'intelligibilité phénoménologique, la visitation même du Visage implique l'intelligibilité éthique " de ce qui n'est pas de ce monde ". Plus encore : elle commande la sainteté. Sainteté que dit le paradigme du " Visage continu "d'Adam. La philosophie " positive " de Lévinas s'entend, ici, comme appartenant à la grande pensée du Retour où se sont essayés les juifs européens, "entre l'hitlérisme incessamment pressenti et l'hitlérisme se refusant à tout oubli".