Violences en révolte. Une histoire culturelle européenne (XIVe-XVIIIe siècle)
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- Nombre de pages314
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.668 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,6 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-7535-7745-9
- EAN9782753577459
- Date de parution23/05/2019
- CollectionHors Série
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
La violence participe au déclenchement de la révolte, la ponctue et, parfois, y met fin ; à tel point que les deux termes apparaissent indissociables. Des historiens de tous horizons dépassent cette évidence et considèrent cette articulation comme un objet politique à part entière. Cette violence est appréhendée ici comme un ensemble de pratiques rituelles, de codes et de gestes issus d'un terreau culturel spécifique.
Car elle n'est pas simplement destinée à imposer par la force une opinion, une revendication ou une faction : elle produit un argumentaire, projette des représentations qui lui sont propres, et façonne un imaginaire politique. Observée dans plusieurs pays européens et sur une longue durée de quatre siècles, la violence en contexte de révolte apparaît ainsi comme plus ou moins organisée : ni complètement spontanée, rarement aveugle, elle découle de logiques singulières que ce livre est le premier à étudier sous cet angle et à cette échelle.
Car elle n'est pas simplement destinée à imposer par la force une opinion, une revendication ou une faction : elle produit un argumentaire, projette des représentations qui lui sont propres, et façonne un imaginaire politique. Observée dans plusieurs pays européens et sur une longue durée de quatre siècles, la violence en contexte de révolte apparaît ainsi comme plus ou moins organisée : ni complètement spontanée, rarement aveugle, elle découle de logiques singulières que ce livre est le premier à étudier sous cet angle et à cette échelle.
La violence participe au déclenchement de la révolte, la ponctue et, parfois, y met fin ; à tel point que les deux termes apparaissent indissociables. Des historiens de tous horizons dépassent cette évidence et considèrent cette articulation comme un objet politique à part entière. Cette violence est appréhendée ici comme un ensemble de pratiques rituelles, de codes et de gestes issus d'un terreau culturel spécifique.
Car elle n'est pas simplement destinée à imposer par la force une opinion, une revendication ou une faction : elle produit un argumentaire, projette des représentations qui lui sont propres, et façonne un imaginaire politique. Observée dans plusieurs pays européens et sur une longue durée de quatre siècles, la violence en contexte de révolte apparaît ainsi comme plus ou moins organisée : ni complètement spontanée, rarement aveugle, elle découle de logiques singulières que ce livre est le premier à étudier sous cet angle et à cette échelle.
Car elle n'est pas simplement destinée à imposer par la force une opinion, une revendication ou une faction : elle produit un argumentaire, projette des représentations qui lui sont propres, et façonne un imaginaire politique. Observée dans plusieurs pays européens et sur une longue durée de quatre siècles, la violence en contexte de révolte apparaît ainsi comme plus ou moins organisée : ni complètement spontanée, rarement aveugle, elle découle de logiques singulières que ce livre est le premier à étudier sous cet angle et à cette échelle.