Vingt-deuxièmes assises de la traduction littéraire (Arles 2005). Traduire la violence

Par : Michel Aucouturier, Claro, Barbara Cassin, Jörn Cambreleng

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  • Nombre de pages207
  • PrésentationBroché
  • Poids0.24 kg
  • Dimensions13,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-7427-6427-5
  • EAN9782742764273
  • Date de parution01/11/2006
  • ÉditeurActes Sud

Résumé

On trouvera ici l'ensemble des communications, conférences, tables rondes et ateliers qui ont fait la matière des Assises de la traduction littéraire, Arles, 2005. Le questionnement des Assises s'est voulu cette année en prise sur un grand débat de notre temps : il a porté sur la violence, telle qu'elle agit et fascine dans la réalité, dans l'écriture et dans la traduction. La traduction, demande Marie-Claire Pasquier en introduction, "ne fait-elle pas violence au texte du seul fait qu'elle le transforme en autre chose" ? A partir de la figure d'Antonin Artaud, la conférence inaugurale de Claro et une table ronde animée par Camille Dumoulié interrogent la violence faite à la langue par le traduire et par l'écrire, dans leur rapport profond au corps et à l'affect.
En prenant pour exemple Boris Pasternak, Michel Aucouturier examine les destinées et les enjeux de la traduction en des temps de non-liberté. Angela Konrad, metteur en scène, dialoguant avec Liliane Giraudon, écrivain et Catherine Duflot, comédienne, traque la violence dans le dispositif théâtral. Et, en clôture, Barbara Cassin, maître d'œuvre du Vocabulaire européen des philosophies, propose une conférence intitulée "Violence de la traduction", qui s'aventure au cœur même de l'intraduisible.
La table ronde ATLF, conduite par Jacqueline Lahana, explore la nouvelle situation faite au traducteur en conséquence des mutations accélérées de l'édition. Selon l'habitude, des comptes rendus des ateliers de traduction (allemand, anglais, italien, espagnol, russe, bosniaque) complètent le volume.
On trouvera ici l'ensemble des communications, conférences, tables rondes et ateliers qui ont fait la matière des Assises de la traduction littéraire, Arles, 2005. Le questionnement des Assises s'est voulu cette année en prise sur un grand débat de notre temps : il a porté sur la violence, telle qu'elle agit et fascine dans la réalité, dans l'écriture et dans la traduction. La traduction, demande Marie-Claire Pasquier en introduction, "ne fait-elle pas violence au texte du seul fait qu'elle le transforme en autre chose" ? A partir de la figure d'Antonin Artaud, la conférence inaugurale de Claro et une table ronde animée par Camille Dumoulié interrogent la violence faite à la langue par le traduire et par l'écrire, dans leur rapport profond au corps et à l'affect.
En prenant pour exemple Boris Pasternak, Michel Aucouturier examine les destinées et les enjeux de la traduction en des temps de non-liberté. Angela Konrad, metteur en scène, dialoguant avec Liliane Giraudon, écrivain et Catherine Duflot, comédienne, traque la violence dans le dispositif théâtral. Et, en clôture, Barbara Cassin, maître d'œuvre du Vocabulaire européen des philosophies, propose une conférence intitulée "Violence de la traduction", qui s'aventure au cœur même de l'intraduisible.
La table ronde ATLF, conduite par Jacqueline Lahana, explore la nouvelle situation faite au traducteur en conséquence des mutations accélérées de l'édition. Selon l'habitude, des comptes rendus des ateliers de traduction (allemand, anglais, italien, espagnol, russe, bosniaque) complètent le volume.
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