Vieux et la malade : la double peine !
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- Nombre de pages136
- PrésentationBroché
- Poids0.19 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-296-11711-2
- EAN9782296117112
- Date de parution01/04/2010
- CollectionLa gérontologie en actes
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Il y a actuellement en France 5 millions de personnes âgées de plus de 75 ans. 860 000 sont atteintes de la maladie d'Alzheimer, 691 000 sont dépendantes et plus de 400 000 sont en institution (maison de retraite ou soins de longue durée). Alors que les besoins de structures adaptées vont augmenter de 30 à 50 % d'ici à 2025, on continue de fermer des lits de soins de longue durée. A l'heure de l'hôpital-entreprise et de la tarification à l'activité, le mot d'ordre est " dehors les vieux ! ". Partout (ville, hôpital, institution), les moyens humains et matériels diminuent alors que les malades âgés doivent payer de plus en plus. En institution, le forfait d'hébergement varie de 1 500 euros à plus de 3 500 euros par mois. Quatre-vingts pour cent des vieux en institution disposent d'un revenu inférieur au coût de leur séjour. Aujourd'hui, les malades, les familles et les soignants n'en peuvent plus. Notre société est devenue maltraitante pour ses vieux. Qu'attendent les politiques pour agir ?
Il y a actuellement en France 5 millions de personnes âgées de plus de 75 ans. 860 000 sont atteintes de la maladie d'Alzheimer, 691 000 sont dépendantes et plus de 400 000 sont en institution (maison de retraite ou soins de longue durée). Alors que les besoins de structures adaptées vont augmenter de 30 à 50 % d'ici à 2025, on continue de fermer des lits de soins de longue durée. A l'heure de l'hôpital-entreprise et de la tarification à l'activité, le mot d'ordre est " dehors les vieux ! ". Partout (ville, hôpital, institution), les moyens humains et matériels diminuent alors que les malades âgés doivent payer de plus en plus. En institution, le forfait d'hébergement varie de 1 500 euros à plus de 3 500 euros par mois. Quatre-vingts pour cent des vieux en institution disposent d'un revenu inférieur au coût de leur séjour. Aujourd'hui, les malades, les familles et les soignants n'en peuvent plus. Notre société est devenue maltraitante pour ses vieux. Qu'attendent les politiques pour agir ?