Vie ouvrière et paternalisme. Les cités de Lafarge à Viviers

Par : Yves Esquieu
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages335
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.875 kg
  • Dimensions19,0 cm × 23,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-918582-33-5
  • EAN9782918582335
  • Date de parution23/11/2023
  • ÉditeurREF.2C
  • PréfacierPierre de Lafarge

Résumé

L'entreprise Lafarge fait partie des acteurs emblématiques de l'industrie française. Elle a été un leader mondial des matériaux de construction. Commencée au milieu du XVIIIe siècle, son histoire est durablement associée à la carrière du Teil en Ardèche, l'exploitation de la famille Pavin de Lafarge, qui tout au long du XIXe siècle fournira chaux et ciments nécessaires aux grands ouvrages de la révolution industrielle, comme le canal de Suez.
Absorbé par le groupe suisse Holcim dans les années 2010, le nom de Lafarge demeure toujours une marque reconnue. Sur son site d'origine, à Viviers (Ardèche), l'ancienne cité ouvrière, dite "Cité Blanche" est devenue une cité fantôme, sa dernière habitante vient de mourir et le lieu est devenu un site patrimonial. C'est l'occasion d'observer plus largement ce que furent les cités pour les ouvriers du grand cimentier, des petites cités à dimension humaine, fortement marquées par une relation étroite entre le milieu patronal et la population ouvrière, relation qu'une famille Lafarge marquée par le catholicisme social a insufflée.
Une version particulière du "paternalisme". Cet ouvrage dépeint ce que fut à Lafarge la version de ces institutions habituelles aux cités ouvrières : écoles, patronage, caisse de secours, hôpital, jardins ouvriers... ; c'est surtout l'occasion d'évoquer la vie quotidienne de ces travailleurs.
L'entreprise Lafarge fait partie des acteurs emblématiques de l'industrie française. Elle a été un leader mondial des matériaux de construction. Commencée au milieu du XVIIIe siècle, son histoire est durablement associée à la carrière du Teil en Ardèche, l'exploitation de la famille Pavin de Lafarge, qui tout au long du XIXe siècle fournira chaux et ciments nécessaires aux grands ouvrages de la révolution industrielle, comme le canal de Suez.
Absorbé par le groupe suisse Holcim dans les années 2010, le nom de Lafarge demeure toujours une marque reconnue. Sur son site d'origine, à Viviers (Ardèche), l'ancienne cité ouvrière, dite "Cité Blanche" est devenue une cité fantôme, sa dernière habitante vient de mourir et le lieu est devenu un site patrimonial. C'est l'occasion d'observer plus largement ce que furent les cités pour les ouvriers du grand cimentier, des petites cités à dimension humaine, fortement marquées par une relation étroite entre le milieu patronal et la population ouvrière, relation qu'une famille Lafarge marquée par le catholicisme social a insufflée.
Une version particulière du "paternalisme". Cet ouvrage dépeint ce que fut à Lafarge la version de ces institutions habituelles aux cités ouvrières : écoles, patronage, caisse de secours, hôpital, jardins ouvriers... ; c'est surtout l'occasion d'évoquer la vie quotidienne de ces travailleurs.
Image Placeholder
Jean-Tristan Roquebert, Yves Esquieu
14,50 €