Vie de sainte Douceline. Fondatrice des béguines de Marseille au XIIIe siècle
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages264
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.306 kg
- Dimensions13,2 cm × 20,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-84137-376-5
- EAN9782841373765
- Date de parution20/08/2020
- CollectionAtopia
- ÉditeurMillon
- PréfacierClaude Louis-Combet
- PostfacierErnest Renan
- TraducteurJoseph Hyacinthe Albanès
Résumé
Sainte Douceline (XIIIe siècle) a été, dans les siècles chrétiens du passé, très populaire, particulièrement en Provence, son territoire et son terroir d'origine. Fondatrice de deux béguinages d'obédience franciscaine, à Hyères et à Marseille, elle est restée, dans la tradition spirituelle, plus célèbre par ses extases et…
Sainte Douceline (XIIIe siècle) a été, dans les siècles chrétiens du passé, très populaire, particulièrement en Provence, son territoire et son terroir d'origine. Fondatrice de deux béguinages d'obédience franciscaine, à Hyères et à Marseille, elle est restée, dans la tradition spirituelle, plus célèbre par ses extases et ses envols, en ses accès de lévitation que par ses oeuvres institutionnelles.
Sa vie, rédigée par sa plus proche compagne, la béguine Philippine de Porcellet, est considérée comme un des monuments littéraires de la Provence médiévale les plus remarquables. Il s'impose encore au lecteur d'aujourd'hui par sa suggestion du merveilleux au sein d'existences vouées, par-dessus tout, à la contemplation. Son accent quasiment surréaliste n'avait pas échappé à Blaise Cendrars qui en témoigne dans Le Lotissement du ciel (1949).
Sa vie, rédigée par sa plus proche compagne, la béguine Philippine de Porcellet, est considérée comme un des monuments littéraires de la Provence médiévale les plus remarquables. Il s'impose encore au lecteur d'aujourd'hui par sa suggestion du merveilleux au sein d'existences vouées, par-dessus tout, à la contemplation. Son accent quasiment surréaliste n'avait pas échappé à Blaise Cendrars qui en témoigne dans Le Lotissement du ciel (1949).