Veuve Becker, la première Serial-killer
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- Poids0.332 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-87462-055-3
- EAN9782874620553
- Date de parution17/01/2011
- CollectionObscuria
- ÉditeurArbre (Editions de l')
Résumé
Marie-Alexandrine Petitjean, veuve Becker (1879-1942), onze victimes : dix femmes et un homme. Henry-Désiré Landru (1869-1922), onze victimes : dix femmes et un homme. À quelques années près, ils sont contemporains. Leur parcours criminel est identique. Ils sont sociables, s'y entendent pour attirer leurs proies avant de les tuer, raflant leurs biens pour faire bonne mesure. Tous deux furent condamnés à la peine capitale. Au départ elle était attachante, cette petite Marie qui, aidée par le curé de son village, avait apprit à lire, à écrire, à compter. Tout cela avant d'arriver à 16 ans en ville, où elle veut apprendre le métier de couturière. Là, elle montre qu'elle a des dons, du charme, qu'elle est intelligente et en plus gentille. Rapidement elle prend la vie par tous les bouts, d'un tempérament de feu, elle se consacre le jour à son travail, la nuit aux plaisirs et aux hommes. La cinquantaine venue, où trouva-t-elle l'idée de verser de la digitaline homicide dans un thé " au goût si amer "? Ce livre essaie de comprendre et de plonger dans la personnalité trouble de cette femme si " normale "...
Marie-Alexandrine Petitjean, veuve Becker (1879-1942), onze victimes : dix femmes et un homme. Henry-Désiré Landru (1869-1922), onze victimes : dix femmes et un homme. À quelques années près, ils sont contemporains. Leur parcours criminel est identique. Ils sont sociables, s'y entendent pour attirer leurs proies avant de les tuer, raflant leurs biens pour faire bonne mesure. Tous deux furent condamnés à la peine capitale. Au départ elle était attachante, cette petite Marie qui, aidée par le curé de son village, avait apprit à lire, à écrire, à compter. Tout cela avant d'arriver à 16 ans en ville, où elle veut apprendre le métier de couturière. Là, elle montre qu'elle a des dons, du charme, qu'elle est intelligente et en plus gentille. Rapidement elle prend la vie par tous les bouts, d'un tempérament de feu, elle se consacre le jour à son travail, la nuit aux plaisirs et aux hommes. La cinquantaine venue, où trouva-t-elle l'idée de verser de la digitaline homicide dans un thé " au goût si amer "? Ce livre essaie de comprendre et de plonger dans la personnalité trouble de cette femme si " normale "...