Vernadsky, la France et l'Europe
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- Nombre de pages348
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.775 kg
- Dimensions16,5 cm × 24,5 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-85892-464-6
- EAN9782858924646
- Date de parution27/02/2017
- CollectionRussie, traditions & perspecti
- ÉditeurMSHA
- ContributeurJacques Grinevald
Résumé
Cet ouvrage consacré au grand savant russe Vladimir Ivanovitch Vernadsky (1863-1945) vise à réparer une injustice. En effet, dans les discussions qui se multiplient aujourd'hui sur la Biosphère, Gaïa et l'Anthropocène, il est bien fait mention de celui qui, dans les années 1920, à Paris, avec Teilhard de Chardin et Le Roy, développait déjà des idées proches des débats actuels, mais elles étaient alors incomprises ou condamnées.
Elles concernaient l'unité vitale de toute l'humanité avec la vie sur Terre et dans le Cosmos. A Paris, Vernadsky a rencontré Bergson. Il a enseigné La Géochimie à la Sorbonne et a travaillé dans le Laboratoire de Marie Curie. En 1929, il a publié en français son ouvrage La Biosphère, qui lui apporte de nos jours une renommée mondiale, après un oubli scandaleux. Il considérait la France comme sa deuxième patrie scientifique, mais, même aux plus dures heures du stalinisme, il ne décida jamais d'émigrer et, rentré dans la nouvelle URSS, il continua à collaborer avec les savants occidentaux et à correspondre avec ses enfants émigrés aux Etats-Unis.
Elles concernaient l'unité vitale de toute l'humanité avec la vie sur Terre et dans le Cosmos. A Paris, Vernadsky a rencontré Bergson. Il a enseigné La Géochimie à la Sorbonne et a travaillé dans le Laboratoire de Marie Curie. En 1929, il a publié en français son ouvrage La Biosphère, qui lui apporte de nos jours une renommée mondiale, après un oubli scandaleux. Il considérait la France comme sa deuxième patrie scientifique, mais, même aux plus dures heures du stalinisme, il ne décida jamais d'émigrer et, rentré dans la nouvelle URSS, il continua à collaborer avec les savants occidentaux et à correspondre avec ses enfants émigrés aux Etats-Unis.
Cet ouvrage consacré au grand savant russe Vladimir Ivanovitch Vernadsky (1863-1945) vise à réparer une injustice. En effet, dans les discussions qui se multiplient aujourd'hui sur la Biosphère, Gaïa et l'Anthropocène, il est bien fait mention de celui qui, dans les années 1920, à Paris, avec Teilhard de Chardin et Le Roy, développait déjà des idées proches des débats actuels, mais elles étaient alors incomprises ou condamnées.
Elles concernaient l'unité vitale de toute l'humanité avec la vie sur Terre et dans le Cosmos. A Paris, Vernadsky a rencontré Bergson. Il a enseigné La Géochimie à la Sorbonne et a travaillé dans le Laboratoire de Marie Curie. En 1929, il a publié en français son ouvrage La Biosphère, qui lui apporte de nos jours une renommée mondiale, après un oubli scandaleux. Il considérait la France comme sa deuxième patrie scientifique, mais, même aux plus dures heures du stalinisme, il ne décida jamais d'émigrer et, rentré dans la nouvelle URSS, il continua à collaborer avec les savants occidentaux et à correspondre avec ses enfants émigrés aux Etats-Unis.
Elles concernaient l'unité vitale de toute l'humanité avec la vie sur Terre et dans le Cosmos. A Paris, Vernadsky a rencontré Bergson. Il a enseigné La Géochimie à la Sorbonne et a travaillé dans le Laboratoire de Marie Curie. En 1929, il a publié en français son ouvrage La Biosphère, qui lui apporte de nos jours une renommée mondiale, après un oubli scandaleux. Il considérait la France comme sa deuxième patrie scientifique, mais, même aux plus dures heures du stalinisme, il ne décida jamais d'émigrer et, rentré dans la nouvelle URSS, il continua à collaborer avec les savants occidentaux et à correspondre avec ses enfants émigrés aux Etats-Unis.