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Vélo Vino. Balades à vélo et dégustations - Le vignoble bordelais

Par : Stéphane Allart

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  • Nombre de pages192
  • ISBN978-2-8177-1125-6
  • EAN9782817711256
  • Date de parution11/07/2025
  • CollectionGUIDE BALADE
  • ÉditeurSUD OUEST

Résumé

Partir de Margaux , parce qu'il faut bien commencer quelque part. Et que commencer par Margaux, c'est comme débuter un roman par une phrase célèbre ? : un peu intimidant, mais ça pose le décor. Puis filer vers le Haut-Médoc . Moins de dorures, plus de bitume. Ca sent la forêt, la Garonne pas loin, le cabernet bien droit. On traverse. Pas trop vite. Le vélo invite à la lenteur. Pessac-Léognan arrive en double.
Une fois, puis deux. Comme une erreur d'itinéraire volontaire. Le vin y est sérieux, précis, presque urbain. Le cycliste slalome entre deux mondes ? : vignes d'un côté, périphérique de l'autre. Un peu de sérieux avec les Graves . Plus au sud, plus franc. On pédale entre pins et graves. Rien d'exotique, mais du solide. Puis viennent les brumes. Sauternes , Barsac , Sainte-Croix-du-Mont . Le vélo se fait contemplatif et onctueux.
On croise des grains nobles et des silences dorés. Et soudain, ça monte un peu. Latresne, Créon, l' Entre-deux-Mers . Pas encore la montagne, mais un effort. Du blanc sec, de la pierre blonde, des pique-niques à l'ombre des clochers. Cadillac , Saint-Macaire , noms anciens, allures tranquilles. On devine que le temps a ralenti ici. Les bouteilles aussi. Haut-Benauge , Graves de Vayres , Fronsac . Sud, puis nord.
Le vin change. Le rythme aussi. Le vélo fatigue un peu. Pomerol . Rien à voir, tout à deviner. On passe sans bruit. Juste après, Saint-Emilion , qui fait son numéro. Et il est réussi ? : pavés, caves, panorama Instagram. Castillon suit. Plus rugueux. Moins posé. Et puis la fin. Côtes de Bourg . Vue sur l'eau. Ciel immense. Cuisses lourdes, coeur léger. Une boucle. Vingt noms, vingt nuances de raisin.
Et un guidon pour les relier.
Partir de Margaux , parce qu'il faut bien commencer quelque part. Et que commencer par Margaux, c'est comme débuter un roman par une phrase célèbre ? : un peu intimidant, mais ça pose le décor. Puis filer vers le Haut-Médoc . Moins de dorures, plus de bitume. Ca sent la forêt, la Garonne pas loin, le cabernet bien droit. On traverse. Pas trop vite. Le vélo invite à la lenteur. Pessac-Léognan arrive en double.
Une fois, puis deux. Comme une erreur d'itinéraire volontaire. Le vin y est sérieux, précis, presque urbain. Le cycliste slalome entre deux mondes ? : vignes d'un côté, périphérique de l'autre. Un peu de sérieux avec les Graves . Plus au sud, plus franc. On pédale entre pins et graves. Rien d'exotique, mais du solide. Puis viennent les brumes. Sauternes , Barsac , Sainte-Croix-du-Mont . Le vélo se fait contemplatif et onctueux.
On croise des grains nobles et des silences dorés. Et soudain, ça monte un peu. Latresne, Créon, l' Entre-deux-Mers . Pas encore la montagne, mais un effort. Du blanc sec, de la pierre blonde, des pique-niques à l'ombre des clochers. Cadillac , Saint-Macaire , noms anciens, allures tranquilles. On devine que le temps a ralenti ici. Les bouteilles aussi. Haut-Benauge , Graves de Vayres , Fronsac . Sud, puis nord.
Le vin change. Le rythme aussi. Le vélo fatigue un peu. Pomerol . Rien à voir, tout à deviner. On passe sans bruit. Juste après, Saint-Emilion , qui fait son numéro. Et il est réussi ? : pavés, caves, panorama Instagram. Castillon suit. Plus rugueux. Moins posé. Et puis la fin. Côtes de Bourg . Vue sur l'eau. Ciel immense. Cuisses lourdes, coeur léger. Une boucle. Vingt noms, vingt nuances de raisin.
Et un guidon pour les relier.