Val Abraham de Manoel de Oliveira. L'illusion comme métier
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- Nombre de pages105
- PrésentationBroché
- Poids0.15 kg
- Dimensions12,0 cm × 17,1 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-87340-307-2
- EAN9782873403072
- Date de parution04/06/2012
- CollectionCôté films
- ÉditeurYellow now
Résumé
Val Abraham demeure une des oeuvres les plus complexes de
Manoel de Oliveira. Le film est souvent considéré comme une
adaptation de Madame Bovary alors qu'il s'inspire d'un roman
de Bessa-Luis; parfois il est réduit à la fascination pour son
actrice principale en négligeant la question du personnage, ou
encore il est désigné comme un éloge intemporel de la beauté
alors qu'il repose sur une conception du temps faite
d'anachronismes.
Val Abraham propose une variation sur l'énigme du personnage (de film). Comme le fit Bunuel dans Cet obscur objet du désir, Oliveira a partagé le rôle principal entre deux actrices. Par ailleurs, en présentant une Ema éternellement jeune, malgré un récit couvrant plusieurs décennies, le cinéaste relie l'interrogation sur le personnage au travail sur le temps. Le film conduit à se demander ce que signifie être contemporain.
Qu'est-ce qu'être présent à soi, et, à un autre niveau, à quelle époque appartenons-nous ? Cela revient à s'interroger sur la beauté dans un monde qui la réduit à des clichés ou des formules creuses. Avec ironie, et malgré la douleur liée au passage du temps, c'est à un éloge de l'illusion artistique que nous convie Oliveira.
Val Abraham propose une variation sur l'énigme du personnage (de film). Comme le fit Bunuel dans Cet obscur objet du désir, Oliveira a partagé le rôle principal entre deux actrices. Par ailleurs, en présentant une Ema éternellement jeune, malgré un récit couvrant plusieurs décennies, le cinéaste relie l'interrogation sur le personnage au travail sur le temps. Le film conduit à se demander ce que signifie être contemporain.
Qu'est-ce qu'être présent à soi, et, à un autre niveau, à quelle époque appartenons-nous ? Cela revient à s'interroger sur la beauté dans un monde qui la réduit à des clichés ou des formules creuses. Avec ironie, et malgré la douleur liée au passage du temps, c'est à un éloge de l'illusion artistique que nous convie Oliveira.
Val Abraham demeure une des oeuvres les plus complexes de
Manoel de Oliveira. Le film est souvent considéré comme une
adaptation de Madame Bovary alors qu'il s'inspire d'un roman
de Bessa-Luis; parfois il est réduit à la fascination pour son
actrice principale en négligeant la question du personnage, ou
encore il est désigné comme un éloge intemporel de la beauté
alors qu'il repose sur une conception du temps faite
d'anachronismes.
Val Abraham propose une variation sur l'énigme du personnage (de film). Comme le fit Bunuel dans Cet obscur objet du désir, Oliveira a partagé le rôle principal entre deux actrices. Par ailleurs, en présentant une Ema éternellement jeune, malgré un récit couvrant plusieurs décennies, le cinéaste relie l'interrogation sur le personnage au travail sur le temps. Le film conduit à se demander ce que signifie être contemporain.
Qu'est-ce qu'être présent à soi, et, à un autre niveau, à quelle époque appartenons-nous ? Cela revient à s'interroger sur la beauté dans un monde qui la réduit à des clichés ou des formules creuses. Avec ironie, et malgré la douleur liée au passage du temps, c'est à un éloge de l'illusion artistique que nous convie Oliveira.
Val Abraham propose une variation sur l'énigme du personnage (de film). Comme le fit Bunuel dans Cet obscur objet du désir, Oliveira a partagé le rôle principal entre deux actrices. Par ailleurs, en présentant une Ema éternellement jeune, malgré un récit couvrant plusieurs décennies, le cinéaste relie l'interrogation sur le personnage au travail sur le temps. Le film conduit à se demander ce que signifie être contemporain.
Qu'est-ce qu'être présent à soi, et, à un autre niveau, à quelle époque appartenons-nous ? Cela revient à s'interroger sur la beauté dans un monde qui la réduit à des clichés ou des formules creuses. Avec ironie, et malgré la douleur liée au passage du temps, c'est à un éloge de l'illusion artistique que nous convie Oliveira.