Une Volonte D'Animer... Theatre, Fetes Et Danses Traditionnelles

Par : Annie Bertrand

Formats :

    • Nombre de pages183
    • PrésentationRelié
    • Poids1.02 kg
    • Dimensions21,8 cm × 30,7 cm × 1,7 cm
    • ISBN2-912837-00-6
    • EAN9782912837004
    • Date de parution01/12/1997
    • ÉditeurBertrand (Annie)

    Résumé

    Il y a des sources. Certaines jaillissent naturellement. D'autres, c'est le sourcier qui les découvre. La Coise est une charmante rivière, qui prend sa source dans les Monts du Lyonnais. Coise emprunte son nom à la petite rivière. Mais si la Coise coule, Coise - le village aurait pu ne jamais couler, je veux dire, aurait pu ne jamais couler que le cours ordinaire des jours monotones de la vie paysanne, aujourd'hui dévastée par le cancer des grandes agglomérations. Il y avait une source, à Coise, non pas une source d'eau, mais une source d'inspirations humaines. Il fallait, pour la découvrir et en régler le cours, un sourcier. Ce fut une sourcière, Annie Bertrand. Depuis un demi-siècle, démentant tous les prophètes annonciateurs de la culture planétaire et de l'oubli des traditions ancestrales, Annie Bertrand fait couler à Coise un filet de cette eau vive qui est faite de l'hydrogène des bonnes volontés et de l'oxygène des bonnes énergies. A l'heure qu'il est, nul doute qu'elle ne demeure la bonne fée sans laquelle rien ne se serait fait. On lira les pages sobres et denses, où, en toute modestie mais en toute fierté, elle résume ce que fut son travail.
    Il y a des sources. Certaines jaillissent naturellement. D'autres, c'est le sourcier qui les découvre. La Coise est une charmante rivière, qui prend sa source dans les Monts du Lyonnais. Coise emprunte son nom à la petite rivière. Mais si la Coise coule, Coise - le village aurait pu ne jamais couler, je veux dire, aurait pu ne jamais couler que le cours ordinaire des jours monotones de la vie paysanne, aujourd'hui dévastée par le cancer des grandes agglomérations. Il y avait une source, à Coise, non pas une source d'eau, mais une source d'inspirations humaines. Il fallait, pour la découvrir et en régler le cours, un sourcier. Ce fut une sourcière, Annie Bertrand. Depuis un demi-siècle, démentant tous les prophètes annonciateurs de la culture planétaire et de l'oubli des traditions ancestrales, Annie Bertrand fait couler à Coise un filet de cette eau vive qui est faite de l'hydrogène des bonnes volontés et de l'oxygène des bonnes énergies. A l'heure qu'il est, nul doute qu'elle ne demeure la bonne fée sans laquelle rien ne se serait fait. On lira les pages sobres et denses, où, en toute modestie mais en toute fierté, elle résume ce que fut son travail.