Une vie pour la Vie. Une morale de la communion des personnes
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- Nombre de pages352
- PrésentationBroché
- Poids0.43 kg
- Dimensions14,5 cm × 20,5 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-87299-159-4
- EAN9782872991594
- Date de parution01/03/2007
- CollectionDonner raison
- ÉditeurLessius éditions
- PréfacierJean-Marie Hennaux
Résumé
Cet ouvrage présente une série d'articles (certains inédits) et de réflexions du P. Roger Troisfontaines, dispersés dans différentes publications, rassemblés et commentés ici par le P. Alain Mattheeuws, s.j., professeur de théologie morale à l'Institut d'études théologiques (Bruxelles). La Bibliographie complète du P. Troisfontaines donne également un aperçu détaillé de son œuvre. Enfin, une Préface du P. Jean-Marie Hennaux, s.j., situe avec clarté la pensée de Roger Troisfontaines dans l'histoire de la morale chrétienne au XXe siècle et en retrace les lignes de force.
La réflexion de ce maître à penser est caractérisée par le passage d'une morale individuelle à une morale interpersonnelle : partant d'une ontologie où l'être est relation et liberté, c'est la communion (voulue), et non la communauté (imposée), qui devient le critère décisif de toute la morale chrétienne. Si le moraliste ne rejette pas l'idée d'une loi naturelle, il rend néanmoins prépondérante celle de la charité (agapè). C'est à ce critère moral de la communion, incarnée en la personne du Christ, que l'auteur se réfère pour éclairer des débats encore actuels, touchant l'avortement, l'euthanasie, l'insémination artificielle, l'expérimentation scientifique, etc.
Cet ouvrage présente une série d'articles (certains inédits) et de réflexions du P. Roger Troisfontaines, dispersés dans différentes publications, rassemblés et commentés ici par le P. Alain Mattheeuws, s.j., professeur de théologie morale à l'Institut d'études théologiques (Bruxelles). La Bibliographie complète du P. Troisfontaines donne également un aperçu détaillé de son œuvre. Enfin, une Préface du P. Jean-Marie Hennaux, s.j., situe avec clarté la pensée de Roger Troisfontaines dans l'histoire de la morale chrétienne au XXe siècle et en retrace les lignes de force.
La réflexion de ce maître à penser est caractérisée par le passage d'une morale individuelle à une morale interpersonnelle : partant d'une ontologie où l'être est relation et liberté, c'est la communion (voulue), et non la communauté (imposée), qui devient le critère décisif de toute la morale chrétienne. Si le moraliste ne rejette pas l'idée d'une loi naturelle, il rend néanmoins prépondérante celle de la charité (agapè). C'est à ce critère moral de la communion, incarnée en la personne du Christ, que l'auteur se réfère pour éclairer des débats encore actuels, touchant l'avortement, l'euthanasie, l'insémination artificielle, l'expérimentation scientifique, etc.