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littérature française
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fraternité
Qui n’a jamais eu à faire avec un “flic” un jour ?
Et qu’est-ce qu’un “Flic” ?
J’ai eu la chance (ou pas, d’ailleurs, il faudrait que je leurs pose la question ! ????) d’avoir régulièrement des policiers de tout grade dans mon entourage. Dans ma famille, certains voisins, des amis aussi…
Lorsque j’étais enfant, jamais je n’aurai osé appeler “flics” les amis de mon père qui venaient régulièrement à la maison…
La lecture captivante et très réaliste, proposée par Éric m’a fait comprendre que le mot “flic” n’était pas forcément une insulte
en fonction de la personne qui le prononçait et au contraire, je pense qu’Éric l’accepte avec fierté.
Alors va pour le mot flic.
Flic, qui malheureusement de plus en plus est décrié, bafoué, insulté, caillassé…
Alors qu’il ne compte pas ses heures, en encaissant au quotidien les difficultés que l’on peut difficilement imaginer.
Avec beaucoup de pudeur Éric nous raconte sa vie, son quotidien, essentiel pour notre bien à tous, même si souvent, nous avons tendance à l’oublier. Ce sont “les gardiens de notre paix“, sans eux où serions nous ?
“Une vie de flic” n’est pas un roman.
C'est une succession de quinze histoires vraies, d’anecdotes vécues par l’auteur dans son quotidien…
Attention, pas de héros sortis tout droit d’une série B, ou d’un film, ici les flics, sont avant tout des êtres humains.
Éric nous raconte son récit, une vie de labeur, une vie d’émotions aussi, de doute parfois, d’amour et d’entreaide souvent, nous rappelant qu’il n’est pas une machine et que c’est avec ce quotidien pesant et souvent ingrat qu’il doit se construire au jour le jour… Certains passages m’ont retourné l’estomac alors que d’autres m’ont fait esquisser un sourire. Il égratigne aussi, sans méchanceté aucune, mais avec un réel constat sur la “bureaucratie” et certaines réflexions bien menées, qui leur lie les mains et qui défait régulièrement ce que les policiers ont mit tant de mal à mettre en place.
Et malgré son vécu, j’ai senti, ou “ressenti” de la psychologie, de l’amour et beaucoup d’émotions envers toutes ces personnes qui gravitent autour de lui quelle que soient leurs conditions sociales…
Alors, merci Éric, j’ai aimé le rendu que tu nous donnes de la police, ta police, celle de tous les jours.
J’ai aimé ton écriture simple et touchante où à aucun moment, je ne me suis ennuyé, d’ailleurs le bêtisier final est une fin idéale pour ouvrir une soupape nécessaire, suite à certains passages particulièrement forts de ta vie.
Il me tarde de te rencontrer, il me tarde de pouvoir discuter avec toi…
Un récit émouvant, qui soulève malheureusement de nombreuses questions !
Qui n’a jamais eu à faire avec un “flic” un jour ?
Et qu’est-ce qu’un “Flic” ?
J’ai eu la chance (ou pas, d’ailleurs, il faudrait que je leurs pose la question ! ????) d’avoir régulièrement des policiers de tout grade dans mon entourage. Dans ma famille, certains voisins, des amis aussi…
Lorsque j’étais enfant, jamais je n’aurai osé appeler “flics” les amis de mon père qui venaient régulièrement à la maison…
La lecture captivante et très réaliste, proposée par Éric m’a fait comprendre que le mot “flic” n’était pas forcément une insulte en fonction de la personne qui le prononçait et au contraire, je pense qu’Éric l’accepte avec fierté.
Alors va pour le mot flic.
Flic, qui malheureusement de plus en plus est décrié, bafoué, insulté, caillassé…
Alors qu’il ne compte pas ses heures, en encaissant au quotidien les difficultés que l’on peut difficilement imaginer.
Avec beaucoup de pudeur Éric nous raconte sa vie, son quotidien, essentiel pour notre bien à tous, même si souvent, nous avons tendance à l’oublier. Ce sont “les gardiens de notre paix“, sans eux où serions nous ?
“Une vie de flic” n’est pas un roman.
C'est une succession de quinze histoires vraies, d’anecdotes vécues par l’auteur dans son quotidien…
Attention, pas de héros sortis tout droit d’une série B, ou d’un film, ici les flics, sont avant tout des êtres humains.
Éric nous raconte son récit, une vie de labeur, une vie d’émotions aussi, de doute parfois, d’amour et d’entreaide souvent, nous rappelant qu’il n’est pas une machine et que c’est avec ce quotidien pesant et souvent ingrat qu’il doit se construire au jour le jour… Certains passages m’ont retourné l’estomac alors que d’autres m’ont fait esquisser un sourire. Il égratigne aussi, sans méchanceté aucune, mais avec un réel constat sur la “bureaucratie” et certaines réflexions bien menées, qui leur lie les mains et qui défait régulièrement ce que les policiers ont mit tant de mal à mettre en place.
Et malgré son vécu, j’ai senti, ou “ressenti” de la psychologie, de l’amour et beaucoup d’émotions envers toutes ces personnes qui gravitent autour de lui quelle que soient leurs conditions sociales…
Alors, merci Éric, j’ai aimé le rendu que tu nous donnes de la police, ta police, celle de tous les jours.
J’ai aimé ton écriture simple et touchante où à aucun moment, je ne me suis ennuyé, d’ailleurs le bêtisier final est une fin idéale pour ouvrir une soupape nécessaire, suite à certains passages particulièrement forts de ta vie.
Il me tarde de te rencontrer, il me tarde de pouvoir discuter avec toi…