Une société intoxiquée par les chiffres. Proposition pour sortir de la crise globale
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- Nombre de pages152
- PrésentationBroché
- Poids0.195 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-296-55820-5
- EAN9782296558205
- Date de parution01/12/2011
- CollectionQuestions contemporaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La crise globale a des racines multiples. Certaines, malgré leur importance, restent peu étudiées et n'occupent qu'une place très secondaire dans le débat public. C'est le cas du langage des mathématiques qui envahit, sans grande résistance, de nombreux domaines où il ne repose sur aucune légitimité, ce qui détériore la capacité à penser le réel et affecte la nature des relations sociales. Cette dérive, doublée d'instrumentalisations et de manipulations des données chiffrées, est une des causes d'une certaine passivité des citoyens, de la défaillance du politique et in fine de la crise globale, environnementale, sociale, économique et financière.
L'auteur invite le lecteur à explorer cette thèse. Il convoque pour se faire différents sujets, l'organisation du travail, les retraites, les services publics, la recherche ou encore le réchauffement climatique, avec une étude inédite des scénarios du Groupe d'experts intergouvernementaux sur l'évolution du climat (GIEC). Le système néolibéral porte une responsabilité première dans cette situation.
Une crise du savoir et une forme inédite d'obscurantisme se développent. Leur analyse éclaire des mécanismes d'endormissement des consciences et de relégation de l'humain au second plan, derrière les chiffres, et au service des intérêts des plus riches. Au fil du texte, une synthèse s'élabore et débouche sur l'esquisse d'un projet de sortie de crise et sur une stratégie pour construire une autre Europe.
L'auteur invite le lecteur à explorer cette thèse. Il convoque pour se faire différents sujets, l'organisation du travail, les retraites, les services publics, la recherche ou encore le réchauffement climatique, avec une étude inédite des scénarios du Groupe d'experts intergouvernementaux sur l'évolution du climat (GIEC). Le système néolibéral porte une responsabilité première dans cette situation.
Une crise du savoir et une forme inédite d'obscurantisme se développent. Leur analyse éclaire des mécanismes d'endormissement des consciences et de relégation de l'humain au second plan, derrière les chiffres, et au service des intérêts des plus riches. Au fil du texte, une synthèse s'élabore et débouche sur l'esquisse d'un projet de sortie de crise et sur une stratégie pour construire une autre Europe.
La crise globale a des racines multiples. Certaines, malgré leur importance, restent peu étudiées et n'occupent qu'une place très secondaire dans le débat public. C'est le cas du langage des mathématiques qui envahit, sans grande résistance, de nombreux domaines où il ne repose sur aucune légitimité, ce qui détériore la capacité à penser le réel et affecte la nature des relations sociales. Cette dérive, doublée d'instrumentalisations et de manipulations des données chiffrées, est une des causes d'une certaine passivité des citoyens, de la défaillance du politique et in fine de la crise globale, environnementale, sociale, économique et financière.
L'auteur invite le lecteur à explorer cette thèse. Il convoque pour se faire différents sujets, l'organisation du travail, les retraites, les services publics, la recherche ou encore le réchauffement climatique, avec une étude inédite des scénarios du Groupe d'experts intergouvernementaux sur l'évolution du climat (GIEC). Le système néolibéral porte une responsabilité première dans cette situation.
Une crise du savoir et une forme inédite d'obscurantisme se développent. Leur analyse éclaire des mécanismes d'endormissement des consciences et de relégation de l'humain au second plan, derrière les chiffres, et au service des intérêts des plus riches. Au fil du texte, une synthèse s'élabore et débouche sur l'esquisse d'un projet de sortie de crise et sur une stratégie pour construire une autre Europe.
L'auteur invite le lecteur à explorer cette thèse. Il convoque pour se faire différents sujets, l'organisation du travail, les retraites, les services publics, la recherche ou encore le réchauffement climatique, avec une étude inédite des scénarios du Groupe d'experts intergouvernementaux sur l'évolution du climat (GIEC). Le système néolibéral porte une responsabilité première dans cette situation.
Une crise du savoir et une forme inédite d'obscurantisme se développent. Leur analyse éclaire des mécanismes d'endormissement des consciences et de relégation de l'humain au second plan, derrière les chiffres, et au service des intérêts des plus riches. Au fil du texte, une synthèse s'élabore et débouche sur l'esquisse d'un projet de sortie de crise et sur une stratégie pour construire une autre Europe.