Une part de risque. Les Arts plastiques à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, 1969-2019

Par : Jean Da Silva
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  • Nombre de pages110
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.2 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN979-10-351-0556-3
  • EAN9791035105563
  • Date de parution01/10/2020
  • CollectionHistoire de la France aux XIXe
  • ÉditeurEditions de la Sorbonne
  • PréfacierAlain Schnapp
  • PostfacierPierre Baqué

Résumé

Au 1er janvier 1971 naissait un établissement d'enseignement supérieur issu de l'ancienne Université de Paris, la Sorbonne, sous le nom "université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ". A l'origine de cette création, des juristes et des politistes, des économistes, des gestionnaires et des mathématiciens, des philosophes, des historiens, des géographes, des artistes et des plasticiens. des archéologues et des historiens de l'art des démographes et des sociologues, des linguistes et des sportifs unissaient leurs forces afin de bâtir une grande université de sciences humaines et sociales qui soit à l'image de la société et de le culture de leur temps : plus autonome dans son rapport à l'Etat, plus démocratique dons la gouvernante de l'institution : pluridisciplinaire parle croisement des savoirs et l'imbrication des parcours : internationale par son recrutement et la multiplicité de ses liens avec l'Europe et le monde : professionnalisante, enfin par son insertion dans l'univers du travail et de la formation.
L'école des arts de la Sorbonne. Le deuxième temps de l'année 1968, celui de la novation après celui de la contestation, vit se réaliser la revendication exprimée pendant les événements de Mai d'introduire l'enseignement des arts plastiques à l'Université. Cela n'alla pas sans une "part de risque", tant les difficultés et les oppositions furent multiples. Formation pluridisciplinaire - à la fois pratique et théorique - destinée à de futurs enseignants, chercheurs, animateurs, médiateurs et administrateurs artistiques comme à de futurs artistes, les Arts plastiques ont, dès lors, mis résolument en relation la création artistique contemporaine, alors foisonnante, avec les sciences humaines en plein essor.
Un demi-siècle plus tard, il faut bien admettre que, sans eux, l'université serait "incomplète".
Au 1er janvier 1971 naissait un établissement d'enseignement supérieur issu de l'ancienne Université de Paris, la Sorbonne, sous le nom "université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ". A l'origine de cette création, des juristes et des politistes, des économistes, des gestionnaires et des mathématiciens, des philosophes, des historiens, des géographes, des artistes et des plasticiens. des archéologues et des historiens de l'art des démographes et des sociologues, des linguistes et des sportifs unissaient leurs forces afin de bâtir une grande université de sciences humaines et sociales qui soit à l'image de la société et de le culture de leur temps : plus autonome dans son rapport à l'Etat, plus démocratique dons la gouvernante de l'institution : pluridisciplinaire parle croisement des savoirs et l'imbrication des parcours : internationale par son recrutement et la multiplicité de ses liens avec l'Europe et le monde : professionnalisante, enfin par son insertion dans l'univers du travail et de la formation.
L'école des arts de la Sorbonne. Le deuxième temps de l'année 1968, celui de la novation après celui de la contestation, vit se réaliser la revendication exprimée pendant les événements de Mai d'introduire l'enseignement des arts plastiques à l'Université. Cela n'alla pas sans une "part de risque", tant les difficultés et les oppositions furent multiples. Formation pluridisciplinaire - à la fois pratique et théorique - destinée à de futurs enseignants, chercheurs, animateurs, médiateurs et administrateurs artistiques comme à de futurs artistes, les Arts plastiques ont, dès lors, mis résolument en relation la création artistique contemporaine, alors foisonnante, avec les sciences humaines en plein essor.
Un demi-siècle plus tard, il faut bien admettre que, sans eux, l'université serait "incomplète".