Une histoire érotique de l'Angleterre. Deux siècles de désirs et de libertés
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- Nombre de pages366
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.384 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,6 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-228-93651-4
- EAN9782228936514
- Date de parution18/09/2024
- ÉditeurPayot
Résumé
"Quand on revient en Angleterre, écrivait Orwell, on a tout de suite l'impression de respirer un air différent". C'est cet air-là que nous fait sentir Grégoire Ming dans cette histoire foisonnante de l'érotisme anglais qui est aussi, sur plus de deux siècles, du XIXe à aujourd'hui, un portrait décoiffant de la société anglaise. En vingt-huit chapitres où l'on trouvera tout des lieux, pratiques, personnalités, scandales politiques, représentations, curiosités, on croisera notamment la première lesbienne moderne, les premières drag-queens de l'histoire, la première minijupe, le premier décolleté à l'écran, le premier "fuck" à la radio, mais aussi le club Windmill et ses 60 000 performances, les "fuck trees" de Hampstead, la très chaude station balnéaire de Blackpool, ou encore le tactile révérend Davidson, la "Speed Queen" Joe Carstairs, l'excentrique Henry Paget, la plantureuse Norma Sykes qui fit s'écrouler un toit d'aéroport sur lequel s'étaient rassemblés 10 000 fans hystériques, et même une certaine reine surveillant son rejeton de fils qui fait la fête...
On le verra, "l'Anglais pense avec tout son corps", il aime les fluidités de classe et de genre, chez lui les minorités sont génér alement mieux traitées qu'ailleurs, et son sens de l'inclusivité, de la représentativité (10% des parlementaires sont queers), bref du respect, est assez unique en Europe !
On le verra, "l'Anglais pense avec tout son corps", il aime les fluidités de classe et de genre, chez lui les minorités sont génér alement mieux traitées qu'ailleurs, et son sens de l'inclusivité, de la représentativité (10% des parlementaires sont queers), bref du respect, est assez unique en Europe !
"Quand on revient en Angleterre, écrivait Orwell, on a tout de suite l'impression de respirer un air différent". C'est cet air-là que nous fait sentir Grégoire Ming dans cette histoire foisonnante de l'érotisme anglais qui est aussi, sur plus de deux siècles, du XIXe à aujourd'hui, un portrait décoiffant de la société anglaise. En vingt-huit chapitres où l'on trouvera tout des lieux, pratiques, personnalités, scandales politiques, représentations, curiosités, on croisera notamment la première lesbienne moderne, les premières drag-queens de l'histoire, la première minijupe, le premier décolleté à l'écran, le premier "fuck" à la radio, mais aussi le club Windmill et ses 60 000 performances, les "fuck trees" de Hampstead, la très chaude station balnéaire de Blackpool, ou encore le tactile révérend Davidson, la "Speed Queen" Joe Carstairs, l'excentrique Henry Paget, la plantureuse Norma Sykes qui fit s'écrouler un toit d'aéroport sur lequel s'étaient rassemblés 10 000 fans hystériques, et même une certaine reine surveillant son rejeton de fils qui fait la fête...
On le verra, "l'Anglais pense avec tout son corps", il aime les fluidités de classe et de genre, chez lui les minorités sont génér alement mieux traitées qu'ailleurs, et son sens de l'inclusivité, de la représentativité (10% des parlementaires sont queers), bref du respect, est assez unique en Europe !
On le verra, "l'Anglais pense avec tout son corps", il aime les fluidités de classe et de genre, chez lui les minorités sont génér alement mieux traitées qu'ailleurs, et son sens de l'inclusivité, de la représentativité (10% des parlementaires sont queers), bref du respect, est assez unique en Europe !