Une grosse et le geste commercial
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- Nombre de pages141
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.13 kg
- Dimensions11,6 cm × 16,7 cm × 1,2 cm
- ISBN979-10-91504-32-4
- EAN9791091504324
- Date de parution12/06/2015
- ÉditeurArbre Vengeur
Résumé
Combien de bouteilles ? J'en apporterai une grosse. - Une grosse quoi ? demanda Zazie. - I veut dire douze douzaines de bouteilles, esplique Gabriel qui voit grand. Dans le recueil que vous allez lire, si l'ivresse est au rendez-vous, ce n'est pas celle des flacons de Raymond Queneau. Car quand Jean-Louis Bailly se met au comptoir, c'est pour aligner de courtes nouvelles, à savourer à la douzaine et sans modération.
On pourra néanmoins choisir, par prudence ou par plaisir, de les déguster au rythme imaginé par leur auteur : une par jour pendant cinq mois. L'occasion quotidienne de mesurer l'étendue du registre d'un écrivain aussi à l'aise dans le fantastique et le réaliste que l'humoristique, le policier ou le satirique. Généreux avec son talent, il offre même in fine à ses lecteurs un petit geste commercial avec une douzaine supplémentaire.
Faire bref est un art qui trouve ici une belle illustration. Pourquoi se priver des joies du court ?
On pourra néanmoins choisir, par prudence ou par plaisir, de les déguster au rythme imaginé par leur auteur : une par jour pendant cinq mois. L'occasion quotidienne de mesurer l'étendue du registre d'un écrivain aussi à l'aise dans le fantastique et le réaliste que l'humoristique, le policier ou le satirique. Généreux avec son talent, il offre même in fine à ses lecteurs un petit geste commercial avec une douzaine supplémentaire.
Faire bref est un art qui trouve ici une belle illustration. Pourquoi se priver des joies du court ?
Combien de bouteilles ? J'en apporterai une grosse. - Une grosse quoi ? demanda Zazie. - I veut dire douze douzaines de bouteilles, esplique Gabriel qui voit grand. Dans le recueil que vous allez lire, si l'ivresse est au rendez-vous, ce n'est pas celle des flacons de Raymond Queneau. Car quand Jean-Louis Bailly se met au comptoir, c'est pour aligner de courtes nouvelles, à savourer à la douzaine et sans modération.
On pourra néanmoins choisir, par prudence ou par plaisir, de les déguster au rythme imaginé par leur auteur : une par jour pendant cinq mois. L'occasion quotidienne de mesurer l'étendue du registre d'un écrivain aussi à l'aise dans le fantastique et le réaliste que l'humoristique, le policier ou le satirique. Généreux avec son talent, il offre même in fine à ses lecteurs un petit geste commercial avec une douzaine supplémentaire.
Faire bref est un art qui trouve ici une belle illustration. Pourquoi se priver des joies du court ?
On pourra néanmoins choisir, par prudence ou par plaisir, de les déguster au rythme imaginé par leur auteur : une par jour pendant cinq mois. L'occasion quotidienne de mesurer l'étendue du registre d'un écrivain aussi à l'aise dans le fantastique et le réaliste que l'humoristique, le policier ou le satirique. Généreux avec son talent, il offre même in fine à ses lecteurs un petit geste commercial avec une douzaine supplémentaire.
Faire bref est un art qui trouve ici une belle illustration. Pourquoi se priver des joies du court ?