Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Tout a commencé à la fenêtre de ma chambre. En l'ouvrant, j'ai regardé le ciel. Il était trop bleu, trop beau, le soleil brillait et il faisait même...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 18 février et le 20 février
En librairie
Résumé
Tout a commencé à la fenêtre de ma chambre. En l'ouvrant, j'ai regardé le ciel. Il était trop bleu, trop beau, le soleil brillait et il faisait même chaud. Vraiment trop chaud pour un mois de novembre.
Les photographies d'Isabelle Ricq, petits mondes clos qui magnifient la forêt, servent d'écrins aux aventures de ses personnages, des aventures trépidantes aux allures d'Alice au pays des merveilles où le monde est sens dessus dessus, et qui abordent délicatement des questions aussi sérieuses que le changement climatique, la déforestation ou encore la pollution lumineuse.
À propos de l'auteur
Biographie d'Isabelle Ricq
Photographe formée à l'école des Gobelins à Paris, Isabelle Ricq s'est longtemps attachée à rendre compte du sort des forêts tropicales, de leur destruction à leur remplacement par des monocultures rentables. Le fil de ce travail documentaire forme une boucle, débutant et revenant sur l'île de Bornéo en l'espace d'une quinzaine d'années, des premiers sujets publiés dans la presse française (Libération, Le Monde, Courrier International...), jusqu'à la parution en 2019 du livre de photographies Lettre à Bruno Manser, projet au long cours autour de la disparition à Bornéo de l'activiste suisse Bruno Manser en l'an 2000. A la naissance de sa fille, elle a été tout à la fois prise de passion pour le monde foisonnant du livre jeunesse, et surprise par le peu de place accordée aux photographies, alors même qu'elle constatait que les enfants autour d'elle étaient capables de s'y attacher, et d'y projeter leurs propres récits.