Man Booker Prize
Coup de coeur

Une fille, qui danse
Edition en gros caractères

Par : Julian Barnes
Définitivement indisponible
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  • Nombre de pages334
  • PrésentationBroché
  • FormatEdition en gros caractères
  • Poids0.395 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-84666-789-0
  • EAN9782846667890
  • Date de parution14/05/2013
  • Collection18/19
  • ÉditeurA Vue d'Oeil

Résumé

Après une existence paisible et un divorce sans heurt, Tony vit sa retraite sereinement. Autrefois, il a connu la passion avec Veronica qui l’a quitté pour son ami Adrian. Il a écrit une lettre épouvantable aux deux amoureux, et peu après, Adrian s’est suicidé. Pourquoi Adrian s’est-il tué ? Quarante ans plus tard, le passé resurgit, des souvenirs soigneusement occultés remontent à la surface – Veronica dansant un soir pour Tony, un week-end dérangeant chez ses parents à elle… Et puis, soudain, la lettre d’un notaire, un testament difficile à comprendre et, finalement, la terrible vérité qui bouleversera Tony comme chacun des lecteurs d’Une fille, qui danse.
Après une existence paisible et un divorce sans heurt, Tony vit sa retraite sereinement. Autrefois, il a connu la passion avec Veronica qui l’a quitté pour son ami Adrian. Il a écrit une lettre épouvantable aux deux amoureux, et peu après, Adrian s’est suicidé. Pourquoi Adrian s’est-il tué ? Quarante ans plus tard, le passé resurgit, des souvenirs soigneusement occultés remontent à la surface – Veronica dansant un soir pour Tony, un week-end dérangeant chez ses parents à elle… Et puis, soudain, la lettre d’un notaire, un testament difficile à comprendre et, finalement, la terrible vérité qui bouleversera Tony comme chacun des lecteurs d’Une fille, qui danse.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 13 notes dont 4 avis lecteurs
Pas pour moi
Déception pour ce roman que j'ai découvert en version audio. Je n'ai pas aimé les personnages ni le style de l'auteur, en revanche, j'ai trouvé la base de l'histoire intéressante. Mon billet est disponible sur mon blog Les lectures de Lily (www.les lecturesdelily.com) ou en suivant ce lien : http://www.leslecturesdelily.com/2018/09/une-fille-qui-danse-ecrit-par-julian.html
Déception pour ce roman que j'ai découvert en version audio. Je n'ai pas aimé les personnages ni le style de l'auteur, en revanche, j'ai trouvé la base de l'histoire intéressante. Mon billet est disponible sur mon blog Les lectures de Lily (www.les lecturesdelily.com) ou en suivant ce lien : http://www.leslecturesdelily.com/2018/09/une-fille-qui-danse-ecrit-par-julian.html
Une fille qui danse de Julian Barnes
uite à un mystérieux héritage, Tony Webster se penche sur son passé. Alors qu'il était jeune étudiant il a entretenu une relation quelques mois avec une Veronica Ford, une jeune fille d'un milieu et d'une éducation bien supérieurs aux siens. C'est elle la jeune fille qui danse. Tony n'était pas à l'aise dans cette relation, il se sentait manipulé. Finalement la rupture arriva. Quelques temps après, Adrian, un des ses amis lui apprend par lettre qu'il sort avec Veronica, il leur envoie alors une lettre dans laquelle il leur souhaite tout le malheur du monde. Lettre qu'il regrettera par la suite. Adrian qui se suicidera peu après apparemment par choix philosophique. Très beau roman au ton souvent ironique voire cynique sur le remord, la prise de conscience que la vision que l'on a de la vie que l'on a menée n'est pas conforme à la réalité à l'heure du bilan. Un roman qui s'interroge sur la mémoire souvent déformée pour être moins gênante. Une fille, qui danse a été couronné par le Man Booker Prize 2011.
uite à un mystérieux héritage, Tony Webster se penche sur son passé. Alors qu'il était jeune étudiant il a entretenu une relation quelques mois avec une Veronica Ford, une jeune fille d'un milieu et d'une éducation bien supérieurs aux siens. C'est elle la jeune fille qui danse. Tony n'était pas à l'aise dans cette relation, il se sentait manipulé. Finalement la rupture arriva. Quelques temps après, Adrian, un des ses amis lui apprend par lettre qu'il sort avec Veronica, il leur envoie alors une lettre dans laquelle il leur souhaite tout le malheur du monde. Lettre qu'il regrettera par la suite. Adrian qui se suicidera peu après apparemment par choix philosophique. Très beau roman au ton souvent ironique voire cynique sur le remord, la prise de conscience que la vision que l'on a de la vie que l'on a menée n'est pas conforme à la réalité à l'heure du bilan. Un roman qui s'interroge sur la mémoire souvent déformée pour être moins gênante. Une fille, qui danse a été couronné par le Man Booker Prize 2011.
amour, Angleterre, secret
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Julian Barnes a une écriture exigeante. Il m'a été difficile d'entrer dans son univers et sa narration. Mais cela c'est fait, finalement. Un roman difficile par sa construction, également. Beaucoup de redites, un début anarchique émaillé de citations toutes faites qui reviendront ensuite ponctuer le récit. Des personnages flous, une vie terne, rien de bien folichon. Pourtant, la sauce fini par prendre, au bout d'un moment. Même si le personnage principal restera à mes yeux un éternel adolescent. Quelques phrases m'ont fait sourire : "la vie est un dimanche" - et le leitmotiv : "Tu ne piges pas, tu n'as jamais rien pigé et tu ne pigeras jamais". Sauf que Tony finit par piger, et nous aussi. Et l'auteur de nous quitter sur cette révélation, comme en suspend, nous laissant imaginer la suite et les faits antérieurs. Finalement, tout le talent de l'auteur aura consisté à nous laisser imaginer. L'image que je retiendrai : Celle du journal d'Adrian, objet de la quête de Tony, que Véronica a brûlé, mais qui se révèle bien accessoire.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Julian Barnes a une écriture exigeante. Il m'a été difficile d'entrer dans son univers et sa narration. Mais cela c'est fait, finalement. Un roman difficile par sa construction, également. Beaucoup de redites, un début anarchique émaillé de citations toutes faites qui reviendront ensuite ponctuer le récit. Des personnages flous, une vie terne, rien de bien folichon. Pourtant, la sauce fini par prendre, au bout d'un moment. Même si le personnage principal restera à mes yeux un éternel adolescent. Quelques phrases m'ont fait sourire : "la vie est un dimanche" - et le leitmotiv : "Tu ne piges pas, tu n'as jamais rien pigé et tu ne pigeras jamais". Sauf que Tony finit par piger, et nous aussi. Et l'auteur de nous quitter sur cette révélation, comme en suspend, nous laissant imaginer la suite et les faits antérieurs. Finalement, tout le talent de l'auteur aura consisté à nous laisser imaginer. L'image que je retiendrai : Celle du journal d'Adrian, objet de la quête de Tony, que Véronica a brûlé, mais qui se révèle bien accessoire.
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