Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ainsi que le souligne André Bay dans son avant-propos, ce quatrième volet des Cités intérieures témoigne aussi de l'ambition littéraire d'une Anaïs...
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Résumé
Ainsi que le souligne André Bay dans son avant-propos, ce quatrième volet des Cités intérieures témoigne aussi de l'ambition littéraire d'une Anaïs Nin qui se voudrait reconnue comme une romancière à part entière, dans la lignée des auteurs qu'elle aime le plus: un D.H. Lawrence, un Proust, un Giraudoux, un Virginia Wolf...
Après Paris, la péniche et la Seine des Chambres du cœur, Anaïs nous ramène dans le New York des années quarante. Le lecteur averti reconnaîtra en Alan, Hugo son mari, en Jay, Henry Miller, et il n'est plus interdit de voir dans le détracteur de mensonges une sorte d'Otto Rank. Et cette espionne dans cette maison de l'amour, n'est-ce pas Anaïs elle-même, qui veut tout savoir et tout expérimenter, et qui apparaît ici déguisée en Sabina, anagramme de Anaïs B, prête à défendre sa cause en même temps que celle de toutes les femmes éprises de la liberté?...