Une dynastie de musiciens bretons. Les Collin au XIXe et au XXe siècle

Par : Jocelyne Ourvois
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  • Nombre de pages381
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.6 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-7535-9829-4
  • EAN9782753598294
  • Date de parution22/05/2025
  • CollectionHistoire
  • ÉditeurPU Rennes
  • PréfacierMarie-Claire Mussat

Résumé

Les Collin forment un véritable "clan" , actif de 1789 à 1951 à Saint-Brieuc, le "fief" de la famille, et dans un second temps à Rennes ; leur rayonnement maximal s'exerce durant le siècle qui s'écoule entre la nomination de Jules comme organiste de la cathédrale de Saint-Brieuc (1836) et la disparition de son petit-fils Charles-Augustin (dit C. -A.), titulaire de l'orgue de Notre-Dame de Rennes (1938).
Ce clan dont l'origine sociale est relativement modeste, offre un remarquable exemple d'ascension : d'abord par la voie de l'Eglise (en particulier avec les quatre chanoines que compte la descendance de Julien, le "fondateur"), ensuite par celle de la musique où s'illustrèrent surtout les deux plus doués, Charles (1827-1911) et son fils Charles-Augustin (1865-1938). La richesse de la documentation et l'intérêt du fonds d'archives familial permettent d'apporter ici une contribution aux recherches concernant la vie musicale en province et même à Paris quand on sait les liens que la famille tissait avec le grand facteur d'orgue Aristide Cavaillé-Coll, l'organiste Lefébure-Wély et l'école Niedermeyer.
Les Collin forment un véritable "clan" , actif de 1789 à 1951 à Saint-Brieuc, le "fief" de la famille, et dans un second temps à Rennes ; leur rayonnement maximal s'exerce durant le siècle qui s'écoule entre la nomination de Jules comme organiste de la cathédrale de Saint-Brieuc (1836) et la disparition de son petit-fils Charles-Augustin (dit C. -A.), titulaire de l'orgue de Notre-Dame de Rennes (1938).
Ce clan dont l'origine sociale est relativement modeste, offre un remarquable exemple d'ascension : d'abord par la voie de l'Eglise (en particulier avec les quatre chanoines que compte la descendance de Julien, le "fondateur"), ensuite par celle de la musique où s'illustrèrent surtout les deux plus doués, Charles (1827-1911) et son fils Charles-Augustin (1865-1938). La richesse de la documentation et l'intérêt du fonds d'archives familial permettent d'apporter ici une contribution aux recherches concernant la vie musicale en province et même à Paris quand on sait les liens que la famille tissait avec le grand facteur d'orgue Aristide Cavaillé-Coll, l'organiste Lefébure-Wély et l'école Niedermeyer.