Une dynastie de musiciens bretons. Les Collin au XIXe et au XXe siècle

Par : Jocelyne Ourvois
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  • Nombre de pages382
  • FormatMulti-format
  • ISBN979-10-413-0556-8
  • EAN9791041305568
  • Date de parution03/06/2025
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Rennes
  • PréfacierMarie-Claire Mussat

Résumé

Les Collin forment un véritable « clan », actif de 1789 à 1951 à Saint-Brieuc, le « fief » de la famille, et dans un second temps à Rennes ; leur rayonnement maximal s'exerce durant le siècle qui s'écoule entre la nomination de Jules comme organiste de la cathédrale de Saint-Brieuc (1836) et la disparition de son petit-fils Charles-Augustin (dit C.-A.), titulaire de l'orgue de Notre-Dame de Rennes (1938).
Ce clan dont l'origine sociale est relativement modeste, offre un remarquable exemple d'ascension : d'abord par la voie de l'Église (en particulier avec les quatre chanoines que compte la descendance de Julien, le « fondateur »), ensuite par celle de la musique où s'illustrèrent surtout les deux plus doués, Charles (1827-1911) et son fils Charles-Augustin (1865-1938). La richesse de la documentation et l'intérêt du fonds d'archives familial permettent d'apporter ici une contribution aux recherches concernant la vie musicale en province et même à Paris quand on sait les liens que la famille tissait avec le grand facteur d'orgue Aristide Cavaillé-Coll, l'organiste Lefébure-Wély et l'école Niedermeyer.
Les Collin forment un véritable « clan », actif de 1789 à 1951 à Saint-Brieuc, le « fief » de la famille, et dans un second temps à Rennes ; leur rayonnement maximal s'exerce durant le siècle qui s'écoule entre la nomination de Jules comme organiste de la cathédrale de Saint-Brieuc (1836) et la disparition de son petit-fils Charles-Augustin (dit C.-A.), titulaire de l'orgue de Notre-Dame de Rennes (1938).
Ce clan dont l'origine sociale est relativement modeste, offre un remarquable exemple d'ascension : d'abord par la voie de l'Église (en particulier avec les quatre chanoines que compte la descendance de Julien, le « fondateur »), ensuite par celle de la musique où s'illustrèrent surtout les deux plus doués, Charles (1827-1911) et son fils Charles-Augustin (1865-1938). La richesse de la documentation et l'intérêt du fonds d'archives familial permettent d'apporter ici une contribution aux recherches concernant la vie musicale en province et même à Paris quand on sait les liens que la famille tissait avec le grand facteur d'orgue Aristide Cavaillé-Coll, l'organiste Lefébure-Wély et l'école Niedermeyer.