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Une amitié catholique à l’épreuve des combats. Montalembert et Dom Guéranger Correspondance (1832-1853)

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  • Nombre de pages520
  • PrésentationRelié
  • Poids1.036 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-85274-379-3
  • EAN9782852743793
  • Date de parution12/09/2025
  • ÉditeurSOLESMES
  • EditeurDom patrick Hala
  • PréfacierSylvain Milbach

Résumé

Montalembert fut un homme politique de premier plan, chef d'un "mouvement catholique" qui entendait prolonger sur un mode mineur et plus prudent les grandes intuitions de Lamennais. Il était l'orateur du catholicisme libéral qui aspirait à réconcilier le catholicisme et le parlementarisme moderne, au profit des intérêts catholiques. De son côté, Dom Guéranger entendait mettre au service des intérêts catholiques l'histoire de l'Eglise, réhabiliter l'action des papes et valoriser le magistère romain, dans le sens d'un combat contre le gallicanisme qui était aussi une position mennaisienne, car lui aussi fut fasciné par Lamennais, tout comme le fut Montalembert qui sera le dernier d'ailleurs à l'abandonner.
L'abbé de Solesmes apparaît comme un pionnier avec la restauration de Solesmes qui précisément va chercher à Rome, et à Rome seulement, l'autorisation de restaurer l'ordre bénédictin.
Montalembert fut un homme politique de premier plan, chef d'un "mouvement catholique" qui entendait prolonger sur un mode mineur et plus prudent les grandes intuitions de Lamennais. Il était l'orateur du catholicisme libéral qui aspirait à réconcilier le catholicisme et le parlementarisme moderne, au profit des intérêts catholiques. De son côté, Dom Guéranger entendait mettre au service des intérêts catholiques l'histoire de l'Eglise, réhabiliter l'action des papes et valoriser le magistère romain, dans le sens d'un combat contre le gallicanisme qui était aussi une position mennaisienne, car lui aussi fut fasciné par Lamennais, tout comme le fut Montalembert qui sera le dernier d'ailleurs à l'abandonner.
L'abbé de Solesmes apparaît comme un pionnier avec la restauration de Solesmes qui précisément va chercher à Rome, et à Rome seulement, l'autorisation de restaurer l'ordre bénédictin.