Au dernier quart du XIXe siècle, la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée pénètre dans les Hautes-Alpes et permet de venir contempler des sommets et des glaciers uniquement connus jusqu'alors par quelques gravures et récits d'alpinistes célèbres. Elle ne cesse dès lors d'oeuvrer pour développer le tourisme dans ce département aux paysages pittoresques et étrangement contrastés.
Au chemin de fer s'ajoutent des services de voitures, hippomobiles, puis automobiles, grâce auxquels les touristes découvrent la montagne dans des conditions de sécurité et de confort remarquables. Les autocars PLM parcourent la célèbre route des Alpes de Nice à Evian inaugurée en 1911, la route Napoléon, la route d'hiver des Alpes, tandis qu'avec la vogue des sports d'hiver, des trains toujours plus rapides transportent les skieurs vers les champs de neige des Hautes-Alpes.
Un demi-siècle d'aventure touristique, illustrée par de nombreux artistes de l'époque.
Au dernier quart du XIXe siècle, la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée pénètre dans les Hautes-Alpes et permet de venir contempler des sommets et des glaciers uniquement connus jusqu'alors par quelques gravures et récits d'alpinistes célèbres. Elle ne cesse dès lors d'oeuvrer pour développer le tourisme dans ce département aux paysages pittoresques et étrangement contrastés.
Au chemin de fer s'ajoutent des services de voitures, hippomobiles, puis automobiles, grâce auxquels les touristes découvrent la montagne dans des conditions de sécurité et de confort remarquables. Les autocars PLM parcourent la célèbre route des Alpes de Nice à Evian inaugurée en 1911, la route Napoléon, la route d'hiver des Alpes, tandis qu'avec la vogue des sports d'hiver, des trains toujours plus rapides transportent les skieurs vers les champs de neige des Hautes-Alpes.
Un demi-siècle d'aventure touristique, illustrée par de nombreux artistes de l'époque.