Un voyage d'hiver

Par : Pierre-Jean Rémy
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  • Nombre de pages312
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-07-026353-3
  • EAN9782070263530
  • Date de parution15/09/1981
  • CollectionBlanche
  • ÉditeurGallimard

Résumé

En apparence, tout est très simple. Un homme rencontre une femme. Elle est viennoise et chanteuse de mélodies allemandes, elle a une petite fille et des amants. Lui a été professeur, il est marié et vit confortablement à Paris auprès d'une épouse-femme d'affaires riche et active. Entre eux, ce sera une manière de coup de foudre réfléchi. Mais comme il est un peu lâche et qu'elle-même court le monde, il leur faudra le temps d'un hiver pour se retrouver.
L'hiver que lui passera dans la maison de son enfance, en Auvergne, tandis qu'elle veille sa mère qui meurt lentement à Vienne. Pendant le temps de cet hiver de neige occupé peut-être à achever une étude sur Hölderlin, mais davantage à écouter de la musique, des lieder, et à retrouver une paysage perdu, plus encore à écrire à Vienne, le narrateur reverra tous les visages de femmes qu'il a pu croiser, tous les regards de femmes qui ont fait baisser le sien.
D'autres silhouettes, encore, passeront, qu'il n'a même pas rencontrées mais qui le hantent. Un à un, ces regards, ces visages s'inscrivent dans la trame romanesque comme autant de brefs moments, voire de courtes nouvelles, chacune indépendante des autres mais parfaitement inscrite dans le corps du récit, à la manière des lieder allemands qui forment les grands cycles de mélodie de Schumann ou de Schubert : L'amour et la vie d'une femme, Le voyage d'hiver, Le chant du cygne.
Et c'est à travers ces visages passés, grâce à eux aussi, que le narrateur prendra la mesure de son amour et arrivera jusqu'à Vienne et à cette femme qu'il aime.
En apparence, tout est très simple. Un homme rencontre une femme. Elle est viennoise et chanteuse de mélodies allemandes, elle a une petite fille et des amants. Lui a été professeur, il est marié et vit confortablement à Paris auprès d'une épouse-femme d'affaires riche et active. Entre eux, ce sera une manière de coup de foudre réfléchi. Mais comme il est un peu lâche et qu'elle-même court le monde, il leur faudra le temps d'un hiver pour se retrouver.
L'hiver que lui passera dans la maison de son enfance, en Auvergne, tandis qu'elle veille sa mère qui meurt lentement à Vienne. Pendant le temps de cet hiver de neige occupé peut-être à achever une étude sur Hölderlin, mais davantage à écouter de la musique, des lieder, et à retrouver une paysage perdu, plus encore à écrire à Vienne, le narrateur reverra tous les visages de femmes qu'il a pu croiser, tous les regards de femmes qui ont fait baisser le sien.
D'autres silhouettes, encore, passeront, qu'il n'a même pas rencontrées mais qui le hantent. Un à un, ces regards, ces visages s'inscrivent dans la trame romanesque comme autant de brefs moments, voire de courtes nouvelles, chacune indépendante des autres mais parfaitement inscrite dans le corps du récit, à la manière des lieder allemands qui forment les grands cycles de mélodie de Schumann ou de Schubert : L'amour et la vie d'une femme, Le voyage d'hiver, Le chant du cygne.
Et c'est à travers ces visages passés, grâce à eux aussi, que le narrateur prendra la mesure de son amour et arrivera jusqu'à Vienne et à cette femme qu'il aime.
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