Un "trio infernal" de la collaboration et de la répression. Procès de trois condamnés à mort
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- Nombre de pages264
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.642 kg
- Dimensions19,0 cm × 24,0 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-36883-132-8
- EAN9782368831328
- Date de parution30/09/2020
- CollectionHistoire et mémoire
- ÉditeurActes Graphiques
Résumé
A la Libération, les femmes et les hommes accusés de "trahison" et d'"intelligence avec l'ennemi" sont traduits devant une juridiction spéciale mise en place fin 1944. Ainsi, deux anciens résistants, un Normand et un Stéphanois sont déférés devant la Cour de Justice de Lyon. Après une longue instruction, les deux hommes sont jugés en mai 1948. Quatre jours d'audience pour ce procès largement médiatisé à l'époque.
Les journaux ont dépêché des envoyés spéciaux pour assister aux débats. Celui qui était leur chef, un adjudant de l'Abwehr - service de renseignement de la Wehrmacht - a été arrêté en Allemagne, ramené en France et incarcéré à la prison de Montluc. Il assiste au procès de ses deux anciens "agents" comme témoin. Le 27 mai 1948, la Cour de Justice de Lyon condamne les deux Français à la peine de mort.
Ils sont fusillés le 19 novembre 1948 au fort de Montessuy à Caluire. L'ex-adjudant de l'Abwehr est jugé à son tour par le Tribunal permanent des Forces armées, c'est-à-dire le Tribunal militaire de Lyon. Il utilise plusieurs moyens dilatoires pour échapper au procès. Il est inculpé de "crimes de guerre" : assassinats, tentatives d'assassinat, séquestrations, coups et blessures, pillages, incendie volontaire.
Quatre jours d'audience ! Une fois de plus, les débats sont largement couverts par la presse. Le 8 décembre 1950, celui qui commettait ces forfaits sous le pseudonyme de "Evans", est condamné à la peine de mort. Mais... ROUEN, SAINT-ETIENNE, RIVE-DE-GIER, LYON, VILLEURBANNE, TARARE, MONTELIMAR. Autant de lieux où les trois individus ont exercé leurs activités criminelles.
Les journaux ont dépêché des envoyés spéciaux pour assister aux débats. Celui qui était leur chef, un adjudant de l'Abwehr - service de renseignement de la Wehrmacht - a été arrêté en Allemagne, ramené en France et incarcéré à la prison de Montluc. Il assiste au procès de ses deux anciens "agents" comme témoin. Le 27 mai 1948, la Cour de Justice de Lyon condamne les deux Français à la peine de mort.
Ils sont fusillés le 19 novembre 1948 au fort de Montessuy à Caluire. L'ex-adjudant de l'Abwehr est jugé à son tour par le Tribunal permanent des Forces armées, c'est-à-dire le Tribunal militaire de Lyon. Il utilise plusieurs moyens dilatoires pour échapper au procès. Il est inculpé de "crimes de guerre" : assassinats, tentatives d'assassinat, séquestrations, coups et blessures, pillages, incendie volontaire.
Quatre jours d'audience ! Une fois de plus, les débats sont largement couverts par la presse. Le 8 décembre 1950, celui qui commettait ces forfaits sous le pseudonyme de "Evans", est condamné à la peine de mort. Mais... ROUEN, SAINT-ETIENNE, RIVE-DE-GIER, LYON, VILLEURBANNE, TARARE, MONTELIMAR. Autant de lieux où les trois individus ont exercé leurs activités criminelles.
A la Libération, les femmes et les hommes accusés de "trahison" et d'"intelligence avec l'ennemi" sont traduits devant une juridiction spéciale mise en place fin 1944. Ainsi, deux anciens résistants, un Normand et un Stéphanois sont déférés devant la Cour de Justice de Lyon. Après une longue instruction, les deux hommes sont jugés en mai 1948. Quatre jours d'audience pour ce procès largement médiatisé à l'époque.
Les journaux ont dépêché des envoyés spéciaux pour assister aux débats. Celui qui était leur chef, un adjudant de l'Abwehr - service de renseignement de la Wehrmacht - a été arrêté en Allemagne, ramené en France et incarcéré à la prison de Montluc. Il assiste au procès de ses deux anciens "agents" comme témoin. Le 27 mai 1948, la Cour de Justice de Lyon condamne les deux Français à la peine de mort.
Ils sont fusillés le 19 novembre 1948 au fort de Montessuy à Caluire. L'ex-adjudant de l'Abwehr est jugé à son tour par le Tribunal permanent des Forces armées, c'est-à-dire le Tribunal militaire de Lyon. Il utilise plusieurs moyens dilatoires pour échapper au procès. Il est inculpé de "crimes de guerre" : assassinats, tentatives d'assassinat, séquestrations, coups et blessures, pillages, incendie volontaire.
Quatre jours d'audience ! Une fois de plus, les débats sont largement couverts par la presse. Le 8 décembre 1950, celui qui commettait ces forfaits sous le pseudonyme de "Evans", est condamné à la peine de mort. Mais... ROUEN, SAINT-ETIENNE, RIVE-DE-GIER, LYON, VILLEURBANNE, TARARE, MONTELIMAR. Autant de lieux où les trois individus ont exercé leurs activités criminelles.
Les journaux ont dépêché des envoyés spéciaux pour assister aux débats. Celui qui était leur chef, un adjudant de l'Abwehr - service de renseignement de la Wehrmacht - a été arrêté en Allemagne, ramené en France et incarcéré à la prison de Montluc. Il assiste au procès de ses deux anciens "agents" comme témoin. Le 27 mai 1948, la Cour de Justice de Lyon condamne les deux Français à la peine de mort.
Ils sont fusillés le 19 novembre 1948 au fort de Montessuy à Caluire. L'ex-adjudant de l'Abwehr est jugé à son tour par le Tribunal permanent des Forces armées, c'est-à-dire le Tribunal militaire de Lyon. Il utilise plusieurs moyens dilatoires pour échapper au procès. Il est inculpé de "crimes de guerre" : assassinats, tentatives d'assassinat, séquestrations, coups et blessures, pillages, incendie volontaire.
Quatre jours d'audience ! Une fois de plus, les débats sont largement couverts par la presse. Le 8 décembre 1950, celui qui commettait ces forfaits sous le pseudonyme de "Evans", est condamné à la peine de mort. Mais... ROUEN, SAINT-ETIENNE, RIVE-DE-GIER, LYON, VILLEURBANNE, TARARE, MONTELIMAR. Autant de lieux où les trois individus ont exercé leurs activités criminelles.