Le dimanche 8 octobre 1600, Henri IV écrivit à Rosny : " je partirai d'ici demain, et j'irai à Beaufort par Faverges. "
Ce fait divers bien réel a permis à Jean-Pierre SPILMONT d'écrire une pièce nous montrant le peuple de l'époque et ses misères. A chaque ligne, il fait retentit le cliquetis des armes et des chevaux lourdement harnachés, mais on se laisse aussi facilement griser par les fumets des festins largement arrosés du vin des Abymes.
Il y a précisément quatre cents ans, la petite ville de Faverges vivait à l'heure du roi de France. Alors ce soir seulement, était-ce vraiment bien peu ?
Le dimanche 8 octobre 1600, Henri IV écrivit à Rosny : " je partirai d'ici demain, et j'irai à Beaufort par Faverges. "
Ce fait divers bien réel a permis à Jean-Pierre SPILMONT d'écrire une pièce nous montrant le peuple de l'époque et ses misères. A chaque ligne, il fait retentit le cliquetis des armes et des chevaux lourdement harnachés, mais on se laisse aussi facilement griser par les fumets des festins largement arrosés du vin des Abymes.
Il y a précisément quatre cents ans, la petite ville de Faverges vivait à l'heure du roi de France. Alors ce soir seulement, était-ce vraiment bien peu ?