Un si fragile vernis d'humanité. Banalité du mal, banalité du bien
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- Nombre de pages301
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.31 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7071-5326-5
- EAN9782707153265
- Date de parution04/10/2007
- CollectionLa Découverte/Poche
- ÉditeurLa Découverte
Résumé
On a pu espérer, un temps, que les monstruosités de la Seconde Guerre mondiale étaient derrière nous. Or partout, à nouveau, on massacre, on torture, on extermine. Comment comprendre cette facilité à entrer dans le mal ? Michel Terestchenko rouvre ici le débat, en complétant notamment la démonstration de Hannah Arendt. Héros ou salaud ? C'est toujours une décision initiale, à peine perceptible, qui décide du côté dans lequel, une fois engagé, on se retrouve in fine .
Qu'est-ce qui explique cette décision ? L'enquête de Michel Terestchenko montre combien est stérile l'opposition entre tenants de la thèse de l'égoïsme psychologique et défenseurs de celle d'un altruisme sacrificiel. Ce n'est pas par " intérêt " que l'on tue ou que l'on torture. Ni par pur altruisme que l'on se refuse à l'abjection. Les travaux qui analysent les phénomènes de soumission à l'autorité, de conformisme de groupe ou de passivité face à des situations de détresse invitent à repenser les conduites de destructivité.
A partir de recherches récentes en psychologie sociale et en s'appuyant sur des exemples historiques particulièrement éclairants, l'auteur propose de penser les conduites humaines face au mal selon un nouveau paradigme : celui de l'absence ou de la présence à soi.
Qu'est-ce qui explique cette décision ? L'enquête de Michel Terestchenko montre combien est stérile l'opposition entre tenants de la thèse de l'égoïsme psychologique et défenseurs de celle d'un altruisme sacrificiel. Ce n'est pas par " intérêt " que l'on tue ou que l'on torture. Ni par pur altruisme que l'on se refuse à l'abjection. Les travaux qui analysent les phénomènes de soumission à l'autorité, de conformisme de groupe ou de passivité face à des situations de détresse invitent à repenser les conduites de destructivité.
A partir de recherches récentes en psychologie sociale et en s'appuyant sur des exemples historiques particulièrement éclairants, l'auteur propose de penser les conduites humaines face au mal selon un nouveau paradigme : celui de l'absence ou de la présence à soi.
On a pu espérer, un temps, que les monstruosités de la Seconde Guerre mondiale étaient derrière nous. Or partout, à nouveau, on massacre, on torture, on extermine. Comment comprendre cette facilité à entrer dans le mal ? Michel Terestchenko rouvre ici le débat, en complétant notamment la démonstration de Hannah Arendt. Héros ou salaud ? C'est toujours une décision initiale, à peine perceptible, qui décide du côté dans lequel, une fois engagé, on se retrouve in fine .
Qu'est-ce qui explique cette décision ? L'enquête de Michel Terestchenko montre combien est stérile l'opposition entre tenants de la thèse de l'égoïsme psychologique et défenseurs de celle d'un altruisme sacrificiel. Ce n'est pas par " intérêt " que l'on tue ou que l'on torture. Ni par pur altruisme que l'on se refuse à l'abjection. Les travaux qui analysent les phénomènes de soumission à l'autorité, de conformisme de groupe ou de passivité face à des situations de détresse invitent à repenser les conduites de destructivité.
A partir de recherches récentes en psychologie sociale et en s'appuyant sur des exemples historiques particulièrement éclairants, l'auteur propose de penser les conduites humaines face au mal selon un nouveau paradigme : celui de l'absence ou de la présence à soi.
Qu'est-ce qui explique cette décision ? L'enquête de Michel Terestchenko montre combien est stérile l'opposition entre tenants de la thèse de l'égoïsme psychologique et défenseurs de celle d'un altruisme sacrificiel. Ce n'est pas par " intérêt " que l'on tue ou que l'on torture. Ni par pur altruisme que l'on se refuse à l'abjection. Les travaux qui analysent les phénomènes de soumission à l'autorité, de conformisme de groupe ou de passivité face à des situations de détresse invitent à repenser les conduites de destructivité.
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