La brève et intense passion de Marie d'Agoult et Franz Liszt défraye la chronique des salons parisiens des années 1830. Au mépris des convenances et du qu'en dira-t-on, Marie d'Agoult décide de vivre au grand jour la folle passion qui la lie à Franz Liszt, l'un des grands génies musicaux de son époque. Entre Paris, Venise, Milan, Florence, Genève et Nohant, telle Anna Karénine, elle sacrifie tout à l'amour de cet homme qui lui-même sacrifie tout à son art et à son ascension personnelle.
Evidemment, la haute société ne voit pas d'un très bon oeil cette femme trop libre pour son temps dont le salon accueille de nombreux républicains : Grévy, Carnot, Littréâ? - et qui soutient ouvertement la première femme à devenir bachelière en France, Julie-Victoire Daubié. Deux des enfants nés de cette passion connaissent aussi des destins singuliers. Cosima épouse Richard Wagner et crée bientôt le festival de Bayreuth, tandis que Blandine épouse l'un des hommes politiques les plus singuliers du XIXe siècle, Emile Ollivier.
En évoquant cette passion entre un musicien ambitieux et une aristocrate en rupture de ban, Catherine Hermary-Vieille nous entraîne dans le sillage des grandes figures de l'époque. George Sand évidemment, dont les deux amants sont proches, mais aussi Blanqui, Sainte-Beuve, Balzac, Lamartine, Théophile Gaultier, Alexandre Dumas. Elle compose surtout un roman ardent et documenté sur la passion entre une femme à qui la société ne pardonne pas sa liberté et un virtuose en quête de gloire.
Un roman où dansent les grandes figures artistiques du XIXe siècle, que l'auteur nous rend familières voire intimes.
La brève et intense passion de Marie d'Agoult et Franz Liszt défraye la chronique des salons parisiens des années 1830. Au mépris des convenances et du qu'en dira-t-on, Marie d'Agoult décide de vivre au grand jour la folle passion qui la lie à Franz Liszt, l'un des grands génies musicaux de son époque. Entre Paris, Venise, Milan, Florence, Genève et Nohant, telle Anna Karénine, elle sacrifie tout à l'amour de cet homme qui lui-même sacrifie tout à son art et à son ascension personnelle.
Evidemment, la haute société ne voit pas d'un très bon oeil cette femme trop libre pour son temps dont le salon accueille de nombreux républicains : Grévy, Carnot, Littréâ? - et qui soutient ouvertement la première femme à devenir bachelière en France, Julie-Victoire Daubié. Deux des enfants nés de cette passion connaissent aussi des destins singuliers. Cosima épouse Richard Wagner et crée bientôt le festival de Bayreuth, tandis que Blandine épouse l'un des hommes politiques les plus singuliers du XIXe siècle, Emile Ollivier.
En évoquant cette passion entre un musicien ambitieux et une aristocrate en rupture de ban, Catherine Hermary-Vieille nous entraîne dans le sillage des grandes figures de l'époque. George Sand évidemment, dont les deux amants sont proches, mais aussi Blanqui, Sainte-Beuve, Balzac, Lamartine, Théophile Gaultier, Alexandre Dumas. Elle compose surtout un roman ardent et documenté sur la passion entre une femme à qui la société ne pardonne pas sa liberté et un virtuose en quête de gloire.
Un roman où dansent les grandes figures artistiques du XIXe siècle, que l'auteur nous rend familières voire intimes.