Un Regard noir. La mouvance anarchiste française au seuil de la Seconde Guerre mondiale et sous l'occupation nazie (1936-1945)
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- Nombre de pages142
- PrésentationBroché
- Poids0.235 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-915514-11-7
- EAN9782915514117
- Date de parution24/06/2008
- CollectionNotre histoire
- ÉditeurMonde Libertaire (Editions)
Résumé
Le rôle et le comportement des anarchistes français pendant la période de la seconde guerre mondiale sont, malgré quelques études pionnières, encore mal connus. Les raisons en sont multiples, en particulier parce que toute réaction organisée et structurée avait été impossible dans l'immédiat. Ce fut le comportement individuel des militants que nous devons essentiellement étudier, et pour comprendre cette situation, la physionomie et un bilan de la mouvance anarchiste d'avant guerre sont nécessaires. D'autre part, pour les anarchistes, cette période constitue, à tort, un revers, avec le fascisme qui sévit, la défaite de l'Espagne républicaine, l'échec face à la guerre, l'Occupation nazie, la répression, les emprisonnements, la collaboration, etc. Face à cette adversité, beaucoup semblent oublier les actions de résistance et de reconstruction d'un mouvement anarchiste clandestin, ou du moins ne songent pas à s'attarder sur les traumatismes d'une époque à oublier au détriment de la mémoire de ceux qui ont poursuivi le combat.
Le rôle et le comportement des anarchistes français pendant la période de la seconde guerre mondiale sont, malgré quelques études pionnières, encore mal connus. Les raisons en sont multiples, en particulier parce que toute réaction organisée et structurée avait été impossible dans l'immédiat. Ce fut le comportement individuel des militants que nous devons essentiellement étudier, et pour comprendre cette situation, la physionomie et un bilan de la mouvance anarchiste d'avant guerre sont nécessaires. D'autre part, pour les anarchistes, cette période constitue, à tort, un revers, avec le fascisme qui sévit, la défaite de l'Espagne républicaine, l'échec face à la guerre, l'Occupation nazie, la répression, les emprisonnements, la collaboration, etc. Face à cette adversité, beaucoup semblent oublier les actions de résistance et de reconstruction d'un mouvement anarchiste clandestin, ou du moins ne songent pas à s'attarder sur les traumatismes d'une époque à oublier au détriment de la mémoire de ceux qui ont poursuivi le combat.