Un pur mouvement de l'être

Par : Pascal Culerrier
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  • Nombre de pages122
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-37355-739-8
  • EAN9782373557398
  • Date de parution01/06/2022
  • CollectionCahiers bleus
  • ÉditeurUnicité

Résumé

Si les incisions sont profondes dans la poésie de Pascal Culerrier, c'est parce que, sans relâche, il greffe en elles l'esprit et la matière de chacun des quatre éléments. On perçoit, on devine, on suit du doigt les douleurs humaines portées par la pierre qui semble veiller sur un accomplissement humain toujours en devenir : "... Tu contemples les arbres où se fige, mystérieusement , le pur mouvement de l'être en ce monde d'ironie ripe tu peines à nommer tien." Pour parvenir à cet art du bruissement, il aura fallu, à l'auteur, traverser des forêts de déchirures.
On suit ici le cheminement d'une feuille à l'automne qui au lieu de rejoindre la terre accomplirait le voyage inverse. Il existe une lumière bleue, une lumière mariale que Pascal Culerrier a dissimulée dans la sève de chacun de ses poèmes et dont on comprend, au moment où il convient, qu'elle était l'insondable tourment sur lequel il fallait venir s'échouer pour approcher le sens de ce monde. Francis Coffinet.
Si les incisions sont profondes dans la poésie de Pascal Culerrier, c'est parce que, sans relâche, il greffe en elles l'esprit et la matière de chacun des quatre éléments. On perçoit, on devine, on suit du doigt les douleurs humaines portées par la pierre qui semble veiller sur un accomplissement humain toujours en devenir : "... Tu contemples les arbres où se fige, mystérieusement , le pur mouvement de l'être en ce monde d'ironie ripe tu peines à nommer tien." Pour parvenir à cet art du bruissement, il aura fallu, à l'auteur, traverser des forêts de déchirures.
On suit ici le cheminement d'une feuille à l'automne qui au lieu de rejoindre la terre accomplirait le voyage inverse. Il existe une lumière bleue, une lumière mariale que Pascal Culerrier a dissimulée dans la sève de chacun de ses poèmes et dont on comprend, au moment où il convient, qu'elle était l'insondable tourment sur lequel il fallait venir s'échouer pour approcher le sens de ce monde. Francis Coffinet.