Un premier féminisme (1774-1830). Les Rencontres de Mix-Cité Orléans
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- Poids0.32 kg
- Dimensions15,5 cm × 20,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-916986-35-7
- EAN9782916986357
- Date de parution17/02/2012
- CollectionFemmes des Lumières
- ÉditeurNicole Vaillant (Editions)
Résumé
Le XVIIIe siècle a vu croître l'importance des femmes dans la vie intellectuelle et artistique, où elles sont, grâce à leurs salons, les égales des "Philosophes". Comment ces femmes agissaient sur les esprits, comment elles voyaient le monde en train de changer, comment elles l'écrivaient, comment étaient perçues leurs différentes activités, voilà l'objet de ces journées d'études. La Terreur ne les épargne pas plus qu'elle ne le fait des hommes.
Olympe de Gouges et Manon Philipon (Mme Roland) sont les plus connues de leurs martyres. Mais c'est l'Empire qui portera un coup fatal à l'émancipation des femmes, avec le code Napoléon. Leur véritable avènement littéraire et philosophique en sera retardé d'un bon siècle. Les opposantes au pouvoir comme Germaine de Staël n'en sont que plus dignes d'admiration, ouvrant au "deuxième sexe" le champ politique.
Les noms de ces femmes sont parfois illustres, parfois obscurs. Ce sont pourtant elles qui ont préfiguré la littérature contemporaine, dans laquelle la parité n'est plus discutée.
Olympe de Gouges et Manon Philipon (Mme Roland) sont les plus connues de leurs martyres. Mais c'est l'Empire qui portera un coup fatal à l'émancipation des femmes, avec le code Napoléon. Leur véritable avènement littéraire et philosophique en sera retardé d'un bon siècle. Les opposantes au pouvoir comme Germaine de Staël n'en sont que plus dignes d'admiration, ouvrant au "deuxième sexe" le champ politique.
Les noms de ces femmes sont parfois illustres, parfois obscurs. Ce sont pourtant elles qui ont préfiguré la littérature contemporaine, dans laquelle la parité n'est plus discutée.
Le XVIIIe siècle a vu croître l'importance des femmes dans la vie intellectuelle et artistique, où elles sont, grâce à leurs salons, les égales des "Philosophes". Comment ces femmes agissaient sur les esprits, comment elles voyaient le monde en train de changer, comment elles l'écrivaient, comment étaient perçues leurs différentes activités, voilà l'objet de ces journées d'études. La Terreur ne les épargne pas plus qu'elle ne le fait des hommes.
Olympe de Gouges et Manon Philipon (Mme Roland) sont les plus connues de leurs martyres. Mais c'est l'Empire qui portera un coup fatal à l'émancipation des femmes, avec le code Napoléon. Leur véritable avènement littéraire et philosophique en sera retardé d'un bon siècle. Les opposantes au pouvoir comme Germaine de Staël n'en sont que plus dignes d'admiration, ouvrant au "deuxième sexe" le champ politique.
Les noms de ces femmes sont parfois illustres, parfois obscurs. Ce sont pourtant elles qui ont préfiguré la littérature contemporaine, dans laquelle la parité n'est plus discutée.
Olympe de Gouges et Manon Philipon (Mme Roland) sont les plus connues de leurs martyres. Mais c'est l'Empire qui portera un coup fatal à l'émancipation des femmes, avec le code Napoléon. Leur véritable avènement littéraire et philosophique en sera retardé d'un bon siècle. Les opposantes au pouvoir comme Germaine de Staël n'en sont que plus dignes d'admiration, ouvrant au "deuxième sexe" le champ politique.
Les noms de ces femmes sont parfois illustres, parfois obscurs. Ce sont pourtant elles qui ont préfiguré la littérature contemporaine, dans laquelle la parité n'est plus discutée.