Un pot-pourri de Kroutchev
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- Nombre de pages48
- PrésentationBroché
- Poids0.048 kg
- Dimensions11,5 cm × 18,5 cm × 0,5 cm
- ISBN2-902963-84-X
- EAN9782902963843
- Date de parution01/01/1970
- CollectionHISTOIRE SOCIALE
- ÉditeurSpartacus
Résumé
En 1970, pour des raisons obscures, les dirigeants de l'Union soviétique firent parvenir aux Etats-Unis un épais volume contenant, sans ordre vraiment apparent, des souvenirs de Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique de 1953 à 1964. C'était la première fois que le parti soviétique laissait - ou plutôt faisait - publier ainsi à l'étranger le point de vue personnel d'un ancien dirigeant du parti et de l'Etat.
Analysant ces textes, ordonnés tant bien que mal par le traducteur américain et qu'il qualifie de "machination énigmatique" , Boris Souvarine y trouve des erreurs manifestes, volontaires ou non, des omissions étonnantes, mais aussi des confirmations des crimes effroyables commis par le régime stalinien qu'il avait su, avec quelques autres, identifier et dénoncer dès les années trente.
Analysant ces textes, ordonnés tant bien que mal par le traducteur américain et qu'il qualifie de "machination énigmatique" , Boris Souvarine y trouve des erreurs manifestes, volontaires ou non, des omissions étonnantes, mais aussi des confirmations des crimes effroyables commis par le régime stalinien qu'il avait su, avec quelques autres, identifier et dénoncer dès les années trente.
En 1970, pour des raisons obscures, les dirigeants de l'Union soviétique firent parvenir aux Etats-Unis un épais volume contenant, sans ordre vraiment apparent, des souvenirs de Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique de 1953 à 1964. C'était la première fois que le parti soviétique laissait - ou plutôt faisait - publier ainsi à l'étranger le point de vue personnel d'un ancien dirigeant du parti et de l'Etat.
Analysant ces textes, ordonnés tant bien que mal par le traducteur américain et qu'il qualifie de "machination énigmatique" , Boris Souvarine y trouve des erreurs manifestes, volontaires ou non, des omissions étonnantes, mais aussi des confirmations des crimes effroyables commis par le régime stalinien qu'il avait su, avec quelques autres, identifier et dénoncer dès les années trente.
Analysant ces textes, ordonnés tant bien que mal par le traducteur américain et qu'il qualifie de "machination énigmatique" , Boris Souvarine y trouve des erreurs manifestes, volontaires ou non, des omissions étonnantes, mais aussi des confirmations des crimes effroyables commis par le régime stalinien qu'il avait su, avec quelques autres, identifier et dénoncer dès les années trente.