Survivre à l’abomination nazie durant la deuxième guerre mondiale était un défi, surtout quand on était juif.
Mais, une fois libérés, les prisonniers des camps ainsi que la plupart des civils devaient surmonter de tels traumatismes, que réapprendre à vivre leur paraissait illusoire.
C’est le sujet de ce roman poignant, raconté à la première personne ce qui apporte un véritable accent d’authenticité.
Zofia a vécu l’enfer, elle a vu mourir la plus grande partie de sa famille, son amnésie post traumatique est entrecoupée de cauchemars atroces, de peurs intenses., son obsession, c’est retrouver Abek, son petit frère, dont elle est séparée depuis trois ans.
Nous suivons sa quête désespérée, dans un dénuement total ce qui n’aide pas à reprendre confiance, ses rencontres, ses premiers sourires, ses déceptions, ses espoirs, et, sa mémoire retrouvée, un dénouement qui conjugue horreur et rédemption.
Quand on lit pareil roman, on ne peut qu’éprouver de la compassion, pour tous les survivants de cette tragédie.
Survivre à l’abomination nazie durant la deuxième guerre mondiale était un défi, surtout quand on était juif.
Mais, une fois libérés, les prisonniers des camps ainsi que la plupart des civils devaient surmonter de tels traumatismes, que réapprendre à vivre leur paraissait illusoire.
C’est le sujet de ce roman poignant, raconté à la première personne ce qui apporte un véritable accent d’authenticité.
Zofia a vécu l’enfer, elle a vu mourir la plus grande partie de sa famille, son amnésie post traumatique est entrecoupée de cauchemars atroces, de peurs intenses., son obsession, c’est retrouver Abek, son petit frère, dont elle est séparée depuis trois ans.
Nous suivons sa quête désespérée, dans un dénuement total ce qui n’aide pas à reprendre confiance, ses rencontres, ses premiers sourires, ses déceptions, ses espoirs, et, sa mémoire retrouvée, un dénouement qui conjugue horreur et rédemption.
Quand on lit pareil roman, on ne peut qu’éprouver de la compassion, pour tous les survivants de cette tragédie.